Randonnée en refuges dans les Dolomites

5 jours de randonnée itinérante en refuges à travers le massif des Dolomites en Italie du col de Duran au refuge de Dibona. Splendide !



Focus Rando :Randonnée en refuges dans les Dolomites
5 jours +4705 m/-4264 m 70 km 3
Randonnée Ligne Refuge
Italie Alpes ; Dolomites Avion, Bus, et Train
Montagne Juin, Juillet, Août, et Septembre

Les Dolomites, terre de randonnée

Les Dolomites appartiennent à ces massifs de légende que des grimpeurs d’exception comme Walter Bonatti et Reinhold Messner ont rendu mythique par leurs exploits. C’est la géologie particulière du massif qui a attiré les alpinistes et qui confère un caractère tout à fait unique à ces montagnes. Situées à mi-chemin entre Venise et les Alpes orientales centrales, les Dolomites sont l’une des plus belles chaînes au monde immaculées de parois verticales et d’un nombre incroyable de chainons reliés par une forte densité de vallées verdoyantes. Saviez-vous qu’il y a plus de 200 millions d’année les Dolomites ressemblaient aux Maldives ? Elles étaient en effet composées d’îles entourées de barrière de corail, ce qui lui vaut aussi aujourd’hui l’appellation de montagnes de corail.

Ce n’est pas un hasard si les Dolomites sont inscrites au Patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 2009.

Un territoire de montagne pour les alpinistes mais aussi pour les randonneurs. Avec Espace Evasion, Laurent et moi partons pour 5 jours de randonnée en liberté à travers les Dolomites, c’est-à-dire sans accompagnateur en montagne mais avec un dossier complet comprenant un carnet de route, deux cartes de randonnée au 1 :25 000, les étiquettes à bagage pour le transport des sacs, une décharge spécifiant que nous savons lire une carte de rando, la liste des hébergements, les vouchers et un livre sur les Dolomites.

Pour arriver dans les Dolomites, c’est aussi du sport. Prendre l’avion depuis Paris, puis le train de Venise à Belluno où nous attend un taxi qui nous conduira au col de Duran (1601 m). Depuis les Alpes, la voiture est plus pratique mais comme nous venions de villes différentes, l’avion s’est trouvé plus commode. Enfin… Nous sommes dans les Dolomites. Nous ne regretterons pas le trajet…

La vidéo de ma randonnée à travers les Dolomites

Avant de lire le récit, regardez la vidéo 🙂

Merci à Laurent pour avoir joué le jeu d’être face caméra.

Col Duran – refuge Vazzoler

 + 712 m/ – 599 m  11,2 km  5h00

Col de Duran (1601 m). En plein après-midi, les cyclistes et les bières se mêlent aux randonneurs et aux visiteurs plus classiques. Ce Méli-mélo de touristes se retrouve autour des tables du refuge San Sebastiano : les bikers ont une préférence pour les pintes, les sportifs pour des boissons sucrées ou de l’eau. En fin de journée tout ce petit monde quitte les lieux pour les laisser aux quelques clients qui vont passer la nuit ici. Ce n’est que le lendemain que je quitte le refuge et le col de Duran par un sentier qui part vers le nord-ouest.

Le sentier un peu raide au démarrage est jonché de fleurs de toute sorte : arnica, gentianes printanières et de koch, oxalys (oseille sauvage), rhododendrons ferrugineux, trolles, thyms serpolets, orchidées… Il rejoint une piste et coupe une sente qui part vers la via-ferrata de Costantini. Très vite, on passe devant le refuge de Bruto Carestiato (1834 m). Nos regards se tournent irrémédiablement vers ces forteresses verticales qui se dressent derrière le refuge. Quelle magnifique terrain de grimpe! Quelle belle vue depuis le chemin.

Du refuge, la vue s’étire jusqu’au col Forc. Del camp (1933 m). On devine un peu l’itinéraire sous la Cathédrale (2558 m). Le chemin se poursuit en balcon jusqu’au col d’Ors (1826 m) et longe les énormes parois dolomitiques des Moiazza sud et nord. On passe un névé d’une petite centaine de mètres alors que nous ne sommes qu’à 1425 m. Il est à peine marqué, les traces ayant été effacées par les pluies des derniers jours. Le temps devient d’ailleurs de plus en plus lourd, l’air devient étouffant sous ce soleil de plomb.

 

Au torrent Corpassa, nous récupérons une piste qui monte progressivement en lacets jusqu’au refuge Vazzoler (1714 m) géré par le CAI, le club alpin italien. Situé au milieu d’une belle forêt de conifères, il dispose de 52 places dans des dortoirs ou de petites chambres de 4 personnes. 34 € la demi-pension en chambre de 4. Le refuge fait face à plusieurs beaux sommets hélas complètement sous la brume. Le ciel tonne et la pluie se met à tomber. C’est le moment de sortir un bon bouquin.

Refuge Vazzoler – refuge Staulanza

 + 1370 m/ – 1280 m  16,20 km  6h30

6h45, le réveil sonne. J’ouvre les volets et regarde le ciel. Toujours aussi couvert que la veille au soir. C’est le pas lourd et pas très motivé que je rejoins avec Laurent la salle pour le petit-déjeuner. Un morceau de pain, deux biscottes, du thé ou du café, un beurre individualisée, une petite barquette de confiture et de chocolat à tartiner. C’est sûr, c’est un refuge du CAI.

Peu après 7h30, nous sommes sur le départ par le sentier 560 qui part vers le nord. Le sentier surplombe le Val Corpassa dont la mer de nuages commence à monter vers nous. Au col Sella du Pelsa (1954 m), le brouillard est sur nous et sa bruine. On commence à s’engager dans le val Civetta, passons un lac non cartographié puis on bifurque sur une petite variante sur le sentier n°563 en direction du refuge Tissi (2250 m). Nous espérons que les nuages se dissipent pour apercevoir la Civetta (3220 m), le sommet emblématique du secteur. Au refuge, le brouillard est encore plus épais, on décide de s’y arrêter quelques temps s’abriter, boire et manger un morceau. Quand nous repartons la pluie à redoubler. La veste Cimalp que je teste ne tarde pas à montrer ses limites. Nous rejoignons le sentier 560, passons le lac Coldai (2143 m) et traversons plusieurs névés importants mais faciles sous les pentes de la Civetta. Un vent fort nous fait face quand nous passons le col Coldai (2191 m) avant de descendre sur le refuge du même nom. On s’y arrête pour faire sécher nos affaires dans une salle chauffée par un poêle, y manger notre pique-nique et consommer du thé et un peu de chocolat tout en nous réchauffant nous aussi. Nos vêtements sont trempés : le pantalon peut-être essoré tout comme le sous-vêtement malgré la veste imperméable. Nous sommes bien restés deux heures à attendre une amélioration de la météo qui n’est bien entendu pas venue, bien au contraire.

Lorsque nous repartons, la pluie est encore plus forte. Le sentier descend en lacets raides mais sur un terrain facile même mouillé jusqu’à la cabane de Piodat (1816 m). Sur le sentier, on croise des salamandres de montagne. Elle ont l’air dans leur assiette avec toute cette humidité. Nous poursuivons vers le nord. Dans ce secteur, il y a une multitude de pistes. On finit par emprunter une mauvaise piste car la carte de randonnée est rangée dans le sac à cause de la pluie. On a perdu que 15 minutes.

Toujours sous la pluie, on gagne la ferme de Vescova dans un joli vallon boisé face au massif du Pelmo. On emprunte la petite route derrière la ferme jusqu’au col de Staulanza où nous arrivons trempés au refuge hôtel. Les vêtements mouillés finissent dans le ski room, une douche chaude (3,50€ quand même) et un bon repas aux assiettes généreuses nous requinque. Dommage que la météo fut si pourrie car je reconnais que c’est une très belle étape.

À la mi-temps de la demi-finale Brésil – Allemagne de la coupe du monde de foot, ça fait déjà 5-0 pour les allemands. La défense brésilienne prend l’eau. Les Dolomites aussi à entendre ce qui tombe sur le toit du refuge.

Tour du Pelmo

 + 1047 m/ – 1047 m  13,65 km  5h30

Il a plu une bonne partie de la nuit. On se lève sans trop y croire. Hier, on avait même évoqué la possibilité de rester au refuge si les prévisions météos restaient identiques. Finalement, si le ciel est toujours obstrué par des nuages d’altitude, on distingue clairement la Civetta au sud et le Pelmo juste au dessus du refuge.

On ne quitte le refuge que vers 9h30 par le sentier n°472 en direction du col de Crêpe Cavalière (1890 m). Avant de l’atteindre, on bifurque vers le Pelmo par un sentier raide qui monte dans les éboulis. Au pied de la face verticale du Sommet, des empreintes de dinosaures se sont figées dans la roche. En les découvrant, il est difficile d’imaginer que se sont des empreintes de trois espèces différentes de dinosaures : celosaure, ornitischien et prosauropode. Ils ont tous comme point commun d’être de petits spécimens de 80 cm à 3 mètres. S’ils étaient si petits, c’est qu’ils étaient les ancêtres des énormes dinosaures qui font le plaisir des enfants. On peut s’arrêter un moment devant ce rocher et aussi profiter de la superbe vue à 180° sur le valdi Zoldo et dans le fond les sommets de Belluno.

De retour sur le chemin n°472, on passe le col et on poursuit à travers les pins mugo, ce qui me rappelle pas mal de souvenirs de Bulgarie, et particulièrement des galères à ski de randonnée. On laisse tous les sentiers qui partent vers la vallée et on rejoint le refuge Venezia après 2h45 de marche. Pas de salle hors sac mais la gardienne est ok pour qu’on mange nos sandwichs à l’intérieur. On en profite pour prendre un coca-cola.

Pour poursuivre le tour du Pelmo, il faut emprunter le chemin qui monte au sommet des 3168 m de la citadelle des dinosaures. Mais attention à ne pas rester sur cette trace (sinon on va en haut) et bien suivre les traces rouges et blanches du sentier n°480. A partir du refuge, on quitte les paysages forestiers pour le monde minéral de la haute-montagne. On alterne passage de pierriers et chemins caillouteux. Deux main-courantes sécurisent des passages plus délicats avec du gaz. Randonneurs ayant le vertige, passez votre chemin. Mieux vaut avoir le pied sûr et éviter de faire le tour du Pelmo par mauvais temps. Le sentier poursuit par un chemin bien raide jusqu’à la forca Val d’Arcia (2476 m). Je l’atteinds le souffle un peu cours. De l’autre côté du col, un énorme névé envahie le val d’Arcia. Le soleil fait son apparition à ce moment là. La météo semble revenir au beau. Nous croisons les doigts.

La descente dans les éboulis n’est pas toujours évidente ni l’orientation d’ailleurs surtout avec de la brume. Nous rejoignons le chemin qui passe sous les falaises d’escalade. La pluie refait son apparition. Nous avions parlé trop vite. Nous finissons en courant pour être le moins mouillé possible. Une heure plus tard le soleil éclairait à nouveau le mont Pelmo. Une journée 4 saisons et une très belle randonnée pour bons marcheurs.

Refuge de Staulanza – refuge Croda da Lago par le col de la Rossa de Fastoni

 + 1017 m/ – 788 m  14,85 km  6h00

Pas d’amélioration depuis hier côté météo. Le ciel est toujours chargé de nuages gris et bas. Sans vent, il semble difficile de passer à un ciel plus clément. On s’en contente tellement les Dolomites étonnent même si l’on sait ne pas avoir trop de chance avec les Dieux du ciel. Ce massif est d’un point de vue géologique tout à fait unique. Je ne l’ai pas encore précisé mais il tire son nom du minéralogiste français Déodat Gratet de Dolomieu qui fit analyser la roche entre Trente et Bolzano parce qu’elle ressemblait à du calcaire sans en être. Les résultats confirmèrent ses doutes : la roche en question ne réagissait pas au carbonate de calcium mais au carbonate double de calcium et de magnésium. Un nouveau minéral venait d’être découvert. Saussure qui fit l’analyse proposa d’appeler la roche « dolomite ».

8h45. Nous voilà sur le départ. Le Pelmo comme la Civetta sont dans les nuages. On emprunte l’itinéraire 472 qui traverse le bas de la moraine du val d’Arcia et rejoint le refuge Città di Fiume (1918 m). Le paysage devient carrément pastoral avec ses grandes prairies vertes et les vaches de toutes espèces. Le sentier 467 est de bonne qualité ; on déroule la journée à grande enjambée sans pourtant forcer. Rien à voir avec la fin de l’itinéraire du tour du Pelmo. On est pourtant si proche…

La montée est progressive. On passe successivement plusieurs cols : la puína (2034 m), Roan (1999 m), col Roan (2075 m), Duro (2295 m), Ambrizzola (2277 m).

En chemin, on fait une courte halte à la bergerie de Prendera (2148 m) merveilleusement située sous le Béco de Mezodi (2603 m) dont la forme est tout à fait caractéristique des montagnes de Corail dont j’ai déjà parlé. Pour y arriver, on zigzague entre de magnifiques rochers sans doute tombés de la Rochetta.

Du col d’Ambrizzola, on aperçoit le refuge Croda da Lago en contrebas. Il est à peine 12h30. On décide de rallonger un peu l’étape en faisant le tour du Croda da Lago (2701 m) par le col de Rossa dei Lastoni (2462 m). C’est ici qu’on quitte l’alto via delle Dolomiti.

L’ascension est régulière sauf sur les derniers mètres un peu plus raide. Un énorme névé nous attend au col. Nous le descendons tel des skieurs sur plus de 400 m de dénivelé. Quelle glisse !! On le quitte pour entrer dans le tapis forestier du val Formin. On y retrouve tout une panoplie de fleurs alpines. Au final, on retrouve un peu toujours les mêmes mais avec grands plaisirs. À la Cason de Formin, on poursuit par le sentier n°434 qui monte jusqu’au lac Federà. Sur sa berge sud se trouve le refuge Croda da Lago (2046 m). Ici, on parle bien sur l’italien mais aussi l’allemand.Seuls les jeunes employés parlent l’anglais. Les anglophones n’ont qu’à bien se tenir…

Ce soir enfin, le ciel a décidé d’arrêter de bouder. Belles lumières sur quelques sommets environnants : le Beco de Mezodi (2603 m) et le Gruppo del Sorapiss, et en particulier la Ponte Negra (2847 m) et le Croda Marcora (3154 m).

Refuge Croda da Lago – refuge de Dibona

 + 864 m/ – 868 m  15,24 km  5h30

Nous quittons le refuge Croda do Lago sous le soleil par le même sentier que la veille. A la Casón de Formin, nous poursuivons sur le sentier 437 jusqu’au pont de Rucurto (1708 m). C’est d’ici que nous entamons notre grimpette de la journée.

Nous traversons la route 638 et montons dans le sous-bois bien humide des pluies des jours précédents. Le soleil nous accompagne toujours. Je n’ai pas la forme. Je traine les pieds et le sac semble peser une tonne. Laurent m’attend patiemment devant la Casón de Claudio (2030 m). Je lui propose de nous arrêter quelques minutes au refuge de Cinque Torri pour boire un coca et manger un fruit. J’ai besoin de reprendre des forces. Le refuge est blotti sous une tour dolomitique appréciée des grimpeurs. Ça monte de tous les côtés. Il faut dire que c’est le premier jour de beau depuis un petit bout de temps.

On rejoint le refuge Scoiattoli (2255 m) situé à la sortie d’un télésiège. C’est blindé de monde. Plutôt que de rester sur la crête, nous traversons la piste de ski pour éviter la foule. On récupère le sentier 440 plus bas. Il mène à la route 48 que nous coupons pour suivre le chemin 412.

La sente monte progressivement, rejoint une piste et part en balcon sous la Tofana de Rozes (3225 m) et rejoint le refuge de Dibona (2037 m). Depuis la terrasse, la vue embrasse tout notre périple du jour et une partie de notre randonnée de la veille. Quel panorama : du Gruppo del Sorapiss au mont Cernera (2657m) en passant par les pointes du Croda da Lago dont nous avons fait le tour hier.

Pour le dernier soir la pleine lune s’invite au dessus de l’Antelao, le « Roi des Dolomites » avec ses 3264 m. Un Happy end autour d’une bière, de spécialités italiennes et d’une superbe fin de journée.

Vous aimeriez coupler votre randonnée avec un roadtrip dans les Dolomites ? Allez lire l’article des Bestjobers 🙂

Informations pratiques pour la randonnée dans les Dolomites

Comment s’y rendre ?

Tout dépend du lieu de départ. Depuis le sud-est de la France, la voiture est une bonne option dès lors que vous êtes plus de 2.

Sinon le plus pratique est de prendre l’avion pour Venise, puis un train pour Belluno où un taxi de l’agence Espace Evasion prend la relève pour déposer les randonneurs au lieu de départ. Pour le retour, bus depuis Cortina d’Ampezzo jusqu’à l’aéroport de Venise. C’est l’option que nous avions choisi.

Quand partir ?

L’été. De mi-juin à mi-septembre tout en sachant que selon les conditions d’enneigement, il peut rester un certain nombre de névés même à basse altitude. On en a croisé de nombreux dès 1400 m dans les pentes nord.

Avec qui partir ?

Cette randonnée en liberté a été réalisée avec Espace Evasion. Rien à redire sur le topo et la documentation remise. Aucun accroc, une organisation au top. L’agence propose aussi une formule en liberté confort de 7 jours et un voyage à pied accompagné de 10 jours.

Difficulté de la randonnée ?

Randonnée ne présentant pas de difficultés techniques. Seul le passage câblé sur le tour du Pelmo nécessite un pied montagnard. Les étapes peuvent êtres plus ou moins allongées de variantes comme nous l’avons fait pour les J2, 3 et 4.

Refuges

  • Refuge San Sebastiano : sur le bord de la route du col Duran. Tiens plus de l’auberge que du refuge.
  • Refuge Vazzoler : refuge du Club Alpino Italiano (CAI) – 52 places en petits dortoirs de 4 lits.
  • Refuge Staulanza : en bord de route, il est plus une auberge qu’un refuge. Le patron, Marco Sala, est un alpiniste de renom avec un beau palmarès : McKinley (6194 m), Aconcagua (6965 m), Ama Dablam (6856 m), K2 (8611 m), Cho Oyu (8201 m), Everest (8848 m) pour ne citer que les plus hautes montagnes.
  • Refuge Croda da Lago : Petits dortoirs et chambres de 2 composent ce refuge du CAI excellemment bien situé.
  • Refuge Dibona : Là aussi plus un hôtel de montagne qu’un vrai refuge avec de petits dortoirs de 4 places. Bonne table le midi, un peu moins le soir.

Wi-fi dans tous les refuges et cartes bleues acceptées.

Livres

13 réflexions au sujet de “Randonnée en refuges dans les Dolomites”

  1. Une très belle aventure, merci de nous faire voyager. Je prends bien note de l’agence qui vous a guidé en toute sécurité.

    Au plaisir

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    • Il est généralement toléré si on respecte ses points :

      – Ne laissez pas la tente montée plus long temps que nécessaire (maximum de 20h00 à 8h00)
      – Respectez votre environnement
      – Il est absolument interdit d’allumer un feu
      – Ne laissez aucune trace de votre passage
      – Emportez tous vos déchets

      Répondre
  2. Bonjour,
    Merci pour cet énergisant descriptif de cette belle randonnée.
    Je prévois de partir avec 2 amis en juillet et je rencontre un peu de difficulté pour réserver les refuges, connaissez-vous un site sur lequel je peux me renseigner et ou réserver?

    Répondre
    • Bonjour,

      Il faut réserver les refuges un par un (lien en fin d’article). Sinon, faut passer par une agence qui organise des randonnées en liberté dans les Dolomites. Elle se chargera de réserver les refuges, les repas et de remettre trace GPS, topo-guide et cartes.

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  3. Bonjour et mercipour cette réponse rapide. C’est bien ce que je pensais, les refuges sont déjà réservés, il faudra que j’en trouve d’autre sur l’alta via ou ce sera alors du bivouac.
    Merci pour les liens, je n’avais pas vu qu’on pouvait cliquer 😉

    Merci et bonne continuation

    Répondre
  4. Bonjour,
    Je voulais faire un circuit de ce type fin juin via une agence mais ils n’ont pas encore les tarifs 2024. J’ai peur de trop attendre et de ne plus avoir de dispo en refuge. J’aurai aimé passer par une agence pour plus de simplicité et surtout pour le roadbook qu’ils fournissent.

    Si je réserve les refuges directement, où puis je trouver les itinéraires détaillés pour suivre ce circuit?

    Merci pour toutes ces informations partagées

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