Test sac à dos Thule Upslope 20

C’est une gamme adaptée à la pratique du ski de randonnée ou du ski freeride à la journée. Ultra résistant aux accrocs à l’abrasion, il peut être adapté pour l’escalade ou la pratique de l’alpinisme. Il est entièrement étanche.

Test terrain du Usplope 20 L

Thule, la marque suédoise, jadis spécialiste des galeries de voitures, s’est diversifié et c’est avec étonnement qu’on la retrouve pour des sacs destinés au ski de randonnée. Le Thule Upslope 20L est le sac à dos idéal pour la pratique du ski piste et de randonnée. C’est un sac très fonctionnel, avec une qualité de finition très élevée.

Aspect du sac

• Look

La sobriété de sa forme tranche avec le coloris testé. En effet, la couleur orange peut s’avérer un peu salissante à l’usage. La forme du sac tranche avec ce que l’on a l’habitude d’utiliser. Il se distingue donc très largement.

• Finition

Très beau produit. Aucune trace d’usure, on ressent la fiabilité et la qualité des matériaux utilisés. De part sa faible contenance, le sac a souvent été rempli mais a aucun moment les fermetures éclaires n’ont montrées un signe de faiblesse.

Portage

• Réglage du sac

La ceinture ventrale est simple mais pour un sac de ce volume c’est largement suffisant. Il n’est pas nécessaire d’avoir un confort extraordinaire, même si l’on peut regretter qu’elle ne soit pas plus rembourrée, pour mieux venir reposer sur les hanches. La sangle pectorale est réglable et ajustable en hauteur ce qui est un confort indéniable qui permet au sac de s’adapter à toutes les carrures et tous les sexes.

• Confort

Les bretelles sont vraiment larges et confortables pour un sac de ce volume ce qui apporte un confort autorisant un chargement assez important. Le dos est assez rigide, il est moulé dans une mousse dense et très confortable. C’est incontestablement le point fort du produit, le sac sait se faire oublier, de par son ergonomie qui colle parfaitement à votre dos et à votre silhouette : rien ne dépasse, il s’inscrit dans le prolongement du skieur.

• Organisation

Le volume du sac est 20 L, ce qui le destine à une utilisation d’une journée maximum notamment pour le ski de randonnée où la liste du matériel indispensable est importante (pelle, sonde, Arva, Gore Tex, doudoune …). Dans ce cas, on appréciera la sangle de compression intérieure qui permet de comprimer la charge, ce qui évite (un peu) à l’équipement placé à l’intérieur du sac de se renverser.

• Ratio poids/volume

Il est de 0,035, ce qui est plutôt bien pour un sac typé hiver. Plus d’informations sur le calcul du ratio poids/volume.

Accessoires

La polyvalence de ce sac en fait un sac très bien équipé et accessoirisé:

• Poche doublée polaire pour lunettes
• La poche hydratation isolée ( le long de la bretelle gauche) empêche le gel de votre tuyau.
• Une poche latérale zippée offre un espace de rangement pour les collations, la crème solaire et d’autres petits objets
• Sifflet de secours sur sangle de poitrine

• Différents systèmes pour porter le matériel : un dispositif de transport diagonal pour skis ou horizontal et vertical pour snowboards.

Je mettrais une petite réserve sur le diagonal de port des skis qui n’est pas suffisamment ajustable pour garantir un bon maintien de ceux-ci. Le faible volume du sac ne permet pas un bon maintien des skis, qui ballottent rapidement.

La version 35 litres est également proposée. Retrouvez le test en cliquant ici.

olivierb

Savoyard (et du bon côté !) … ça facilite les choses quand on aime la montagne. Comme Obélix, je suis tombé dedans étant petit. Depuis, les skis de rando, les bâtons de marche ou le VTT ne sont jamais très loin.
Un jour, l’envie de réaliser un rêve : un Tour du monde d’un an avec le projet “Un pas de coté”. On a trainé nos guêtres au Ladakh en Inde, traversé le Laos et la Thaïlande à vélo, découvert les temples du Cambodge, parcouru l’Austraile et la Nouvelle-Zélande en Van (et un peu à pied), descendu la Caretea australe chilienne en stop, usé les sentiers des parcs nationaux argentins, gravi un premier 6 000 en Bolivie pour finir dans la Cordillère blanche au Pérou.
Revenu dans le commun des mortels, la suite est faite de séjour au Kirghizstan à cheval, du tour de l’Islande, de traversée du Beaufortain et d’un raid en Haute Maurienne en ski de randi ou d’une diagonale Maurienne – Queyras – Ubaye en VTT.
Les prochains séjours passerons (certainement) par la Norvège avec 90 au patin, par les Bauges en vélo, par la Chartreuse en courant…
On me dit souvent : “t’as la belle vie”… c’est sûr, mais c’est un travail quotidien !
« Les voyages sont la partie frivole de la vie des gens sérieux et la partie sérieuse des gens frivoles. » Anne Sophie Swetchine