Test tente Samaya Inspire2

Samaya, la marque française de tentes 4 saisons, se lance dans la confection de modèles 3 saisons avec deux modèles : la samaya Opti 1.5 et la Samaya Inspire2. J’ai testé l’Inspire2 pendant 6 nuits dans le Jura. Voici mon avis.

L’Inspire2 est la dernière tente de la marque novatrice française Samaya que j’ai testée. Ma tente est ma résidence secondaire, je passe plusieurs mois par an sur les routes et chemins, en bivouac, sur tous les continents. Je ne pars pas uniquement quand les conditions s’annoncent bonnes, je vis dehors, je ne choisis pas la météo, je la subis parfois. J’attends d’une tente qu’elle me protège du vent, de la pluie, de la grêle, de la rosée. Qu’elle offre la possibilité de moduler les aérations  et les ouvertures en fonction de la météo pour limiter la condensation et laisser l’air circuler lors des fortes chaleurs, mais aussi quand il pleut. Que les zips soient résistants et durables face à la poussière notamment, et à l’utilisation intensive. Que le tapis de sol soit lui aussi solide et étanche afin de me passer de bâche ou de footprint, que les moustiquaires soient assez fines pour empêcher tous les suceurs de sangs de rentrer, y compris les plus petits midgies, que le vestibule me permette de cuisiner dessous (porte ouverte à l’abri), que la hauteur soit suffisamment importante pour être assise sans toucher le plafond. Et légère, autant que possible. Bref, fonctionnelle. Je n’ai pas encore trouvé la tente idéale. La barre est haute, voici ce que je pense après un test approfondi, sérieux et critique, de la tente Samaya Inspire2. Nous sommes le 10 mars quand je la reçois, je pars dans 3 semaines pour 3 mois d’itinérance à pied et à vélo, et suivant le résultat du test dans le Jura, je prendrai cette tente… ou non !

Premières impressions sur la tente Samaya Inspire2

Quand il m’ a été proposé d’emmener la tente Inspire2 de Samaya pour un test de 2.5 mois, j’ai tout d’abord hésité. Sur le papier, je ne vois pas trop comment les détails en sont faits, c’est un produit nouveau pas encore sur le marché, et son poids certes faible (1.6 kg), n’est pas ultra-light non plus. C’est une 2 personnes mais je suis seule. Ce sont les aspects “aération” et “accès latéral” promis en plus du reste par rapport aux qualités de ma tente Vaude actuelle qui m’ont décidée. Mais la Samaya Inspire2 sera t-elle aussi performante qu’attendu ?

Au déballage, trois sacs :

• Un tout petit pour les sardines qui sont en matériaux composites, super légères. Elles sont d’autre part très courtes (9 et 12 cm), mais leur forme est intéressante, une fois plantées, je pense qu’elles tiendront bien. Affaire à suivre…
• Un autre sac, de forme “tube” pour les deux très longs arceaux de 4 m en DAC NFL  8.7 mm (aluminium)
• Et un troisième sac, plutôt rond, compact, à fermeture roulée, étanche sauf le dessous qui est en filet (?), pour la toile qu’on range donc en vrac. Il va être compliqué de l’attacher sous mon guidon ou sur le côté de/sous mon sac à dos, je lui trouverai une autre housse.

Pas de kit réparation pour la toile et les arceaux. J’en suis étonnée étant donné le prix du produit (900 euros), probablement parce que c’est un prototype. Un des arceaux est anormalement tordu, je signale, un nouveau arrive en 24 heures chrono et avec, un petit bout de tube en cas de casse d’arceau (ah ben voilà).

Le produit est sensé être respirant et totalement imperméable.

La toile

C’est une mono-paroi  avec 2 “murs” en moustiquaire intégrale, à laquelle on va venir ajouter (ou non) un vestibule de chaque côté. Pour la forme générale, voir ci dessous, ce sera plus simple qu’un grand discours.

• Le “toit” bleu ou rose de la mono-paroi est en laminé 3 couches, soit de l’extérieur vers l’intérieur :  nylon 7D microripstop puis une membrane Nanovent qui pèse 53 gr/m², et enfin une couche 10D en nylon hydrophile. Le tout promet une imperméabilité à 10 000 mmH2O et une respirabilité de 40 000 g/m²/24 h.
• Les “murs” noirs sont en mesh, avec une maille très fine.
• L’épais et solide tapis de sol noir est en nylon 70D PU/Silicone, 90 gr/m² et une étanchéité à 10 000 mmH2O.
• Les vestibules gris très clairs sont en nylon 66 haute résistance 10D ripstop PU/silicone, 28 g/m² pour une étanchéité donnée à 1500 mmH2O.

Pour avoir vu passer une dizaine de tentes différentes dans ma vie de bourlingue, après déballage et inspection, je suis septique sur quelques points et dès réception, je vais passer six nuits dehors.

La tente Samaya Inspire2 sur le terrain

Montage

En l’absence de notice, je me demande une seconde s’il faut fixer d’abord les sardines aux 4 angles puis ensuite passer les arceaux dans les gaines ou l’inverse et s’il faut ôter les vestibules (qui sont accrochés quand je reçois la tente) pour le montage. Je laisse les vestibules, commence par fixer les 4 coins au sol (ce qui me paraît logique en cas de vent fort), et lance le chrono.

Il est impossible de pousser les arceaux jusqu’au bout des fourreaux (ils font 4 mètres), ils “bloquent” à plusieurs endroits, notamment aux croisements mais pas seulement, je dois me déplacer deux fois pour les accompagner dans le fourreau (pourtant continu) et ce n’est pas évident pour autant. En effet, les tronçons d’arceau ont alors tendance à se désemboîter et tout se complique. J’y vois une grosse perte de temps, ce n’est pas un avantage quand il faut monter la tente sous la pluie (ce qui adviendra quatre jours plus tard) ou dans le vent.

Les jours suivants je m’y suis prise différemment à chaque fois, sans plus de succès. Une fois en ne fixant d’abord que les 2 coins opposés à l’entrée des fourreaux, puis l’inverse, puis en ne fixant rien. Au quatrième montage, je casse un tronçon d’arceau, qui, je suppose, s’était justement désemboîté… Comme j’ai toujours celui qui avait été envoyé tordu au départ, je remplace le tronçon cassé, mais la gaine a percé. Je répare et protège comme je peux. Le bon point toutefois est que l’intérieur de la tente, avec un peu d’attention, ne prend pas l’eau durant le montage. Lors de la tentative en montant et enfilant les arceaux tronçon par tronçon (par manque de place autour de la tente car il faut un terrain d’au moins 6,5 mètres de long sans obstacle) et sans fixer au sol au préalable, je valide le fait que la toile est autoportante (sauf les vestibules). Cette fonction est intéressante pour monter la tente dans une grange, une cabane, ou une chambre “d’hôtel” asiatique ou africaine pour s’en servir comme moustiquaire. Il m’est arrivé une fois ou deux de monter ma toile intérieure sur un lit !

Pour la suite du montage, les vestibules étant déjà accrochés, il  reste à mettre une sardine par vestibule, puis les 6 sardines des haubans, puis les quatre crochets vestibules pas maniables qui viennent sur les arceaux à l’endroit où ces derniers se croisent à l’extérieur (Je les appellerai “crochets A” pour la suite). Ensuite, depuis l’intérieur des vestibules, il faut encore faire le tour de la tente pour aller attacher quatre crochets (que j’appellerai “crochets B”) qui maintiennent également les vestibules sur les arceaux, mais par l’intérieur. Au mieux le montage m’a pris 10 minutes, au pire 22 minutes, et a provoqué à chaque fois un fort agacement par rapport à la difficulté d’enfiler les arceaux dans les fourreaux en ayant, de plus, la crainte de faire de la casse.

Depuis la publication d utest, Samaya a publié une vidéo de montage sur sa chaîne Youtube. Je vous invite à regarder le montage de l’Inspire2 dans des conditions venteuses.

Qualité de fabrication

Impeccable. Rien à redire. Les coutures sont nickelles et ont l’air solides, les bandes thermo-soudées inspirent confiance. On trouve un renfort là où viennent se loger l’extrémité des arceaux. Après montage la toile est bien tendue, ne devrait pas faseyer à conditions de bien tendre les vestibules. La tente est très belle par ses lignes et ses proportions, avec une forme assez inédite et originale. Samaya est écrit en gros au bas des vestibules et le logo (sobre) figure également à plusieurs endroits, sur le toit. Les vestibules sont relativement spacieux et la toile vient jusqu’au sol. Le tapis de sol est assez épais et solide pour se passer de bâche ou de footprint, ce qui est très appréciable, j’ai monté ma tente deux fois sur terrain bien mouillé, aucune humidité n’est passée à travers le tapis de sol. Tout est soigné et les matières employées sont parmi les meilleures.

Couleur

La tente est donc proposée en bleu ou en rose, sachant que seul le “toit” est dans cette couleur. Les vestibules sont gris clairs. Ce sont les couleurs qui identifient les tentes “Samaya”, plutôt tournées jusque là vers la haute montagne et les univers difficiles. Si la bleue n’est pas trop flashie, j’aurais néanmoins apprécié une tente verte qui se fonde dans la nature et assure ma discrétion.

Les sardines

Comme dit plus haut, les sardines très légères sont en matériaux composites. Au nombre de 12, 6 petites (9 cm) et 6 grandes (12 cm), en forme de croix, crantée “anti-retour”en bas. Une fois ancrées au sol elles sont difficilement extirpables. Assez bluffantes à vrai dire. J’ai tapé dessus avec un caillou, les ai enfoncé avec le pied, elles peuvent se tordre, il suffit alors de les redresser à la main, elles ne semblent pas fragilisées pour autant. Incassables mais malléables et d’un diamètre relativement important, elles trouvent plus vite leurs limites que des sardines métal quand le terrain est dur ou caillouteux. Mais elles ne cassent pas et se redressent à la main…

Conception

Il y a, à mon humble avis, quelques “bugs” de jeunesse dans la conception de la tente Samaya Inspire2, la difficulté à installer les arceaux en est un, rédhibitoire, j’en ai déjà parlé.

L’ouverture/accessibilité à la chambre. Il faut ouvrir le zip en entier (zip minimaliste de 2.5 m de long) pour  sortir ou accéder à la chambre. Ce n’est pas fonctionnel pour sortir assouvir une envie naturelle la nuit, pas fonctionnel quand il y a des moustiques ou des midgies, pas fonctionnel par grand vent, fastidieux, il faut se déplacer sur les genoux (que ce soit de l’intérieur ou de l’extérieur avec le dos qui touche le vestibule possiblement trempé) pour aller d’un bout à l’autre de ce zip. Je ne cache pas que ma première réaction fut de me dire que le système d’ouverture  en “U” à 90° est tellement plus pratique, pourquoi être allé chercher midi à quatorze heures (pour la vue panoramique, mais pour ça, on sort de la fonction première d’une tente).

Une fois le zip entièrement ouvert, la moustiquaire est “par terre”, avec le zip possiblement dans le sable, la poussière, l’eau, la terre… ce qui n’allongera assurément pas sa durée de vie, et on peut alors allègrement se prendre les pieds dedans en sortant. On peut bien sûr enrouler et accrocher ce pan de moustiquaire, mais qui fera tout ça pour sortir la nuit.

Ensuite, si on veut tendre les haubans, étant donné leur position, cela a pour effet d’aplatir la tente. De même, lorsqu’une nuit il est tombé 2 cm de neige très mouillée par gros pâtés, la tente, de par sa conception, s’est un peu affaissée et les haubans sont devenus totalement inutiles car trop lâches, ainsi que les vestibules, qui se sont alors mis à  faseyer dans le vent léger.

Je n’ai jamais pu sortir en cas de pluie sans mouiller l’intérieur de la chambre. Une fois la moustiquaire ouverte, de l’eau tombe à l’intérieur de la tente quand j’ouvre le zip du vestibule car il passe à l’aplomb. Ce dernier est d’ailleurs très loin à aller chercher.

Vestibules

Les vestibules de la Samaya Inspire2 sont faciles et relativement rapides à mettre en place/ôter. Un long zip sur la partie haute, six points de velcro par vestibule (3 de chaque côtés), plus huit crochets en tout sur les arceaux dont 4 extérieurs, deux sardines et les boucles à passer autour des sardines des 4 coins de la tente. Des vestibules à demeure que l’on peut rouler et accrocher pour les maintenir ouverts en entier auraient été parfaits. Dans notre cas, on peut les accrocher ouverts à moitié, mais rien n’est prévu pour le cas où on veut donc les laisser en place sur la tente, mais entièrement ouverts. Il faudra les faire tenir comme on peut, ou les détacher complètement.

Pour gagner du poids on peut laisser les vestibules à la maison (178 g par vestibule) si les conditions météo sont annoncées top, d’accord. Mais si on enlève le poids du système d’accroche (crochets A + crochets B + zip + velcros), les vestibules sont si légers que je ne vois aucun intérêt à ce qu’ils soient amovibles à part pour les égarer (ou qu’ils s’envolent).

Sans les vestibules, la tente ressemble à une moustiquaire sur armature avec toutefois un toit pour protéger partiellement de la rosée.

Une fois les vestibules “installés”, ceux-ci s’ouvrent par un (autre) zip à curseur unique, et deux points de velcro qui offrent donc la possibilité d’une aération partielle si le vent n’est pas trop fort. Un double curseur aurait été bienvenu, plus fiable.

Le volume sous les vestibules permet de laisser pas mal de matos mais pas vraiment de cuisiner car la forme “taille de guêpe” fait que la surface du tapis de sol empiète pas mal sur celle du vestibule. On ne peut alors pas profiter de la hauteur totale du vestibule, ni tenir accroupi sous les vestibules sans toucher la toile.

A l’intérieur

Une fois la tente montée, la forme des murs est “taille de guêpe”. Pour une utilisation solo, il reste un volume très confortable à l’intérieur, mais à 2, on sera vite contre la moustiquaire (qui perd alors son utilité). En installant mon matelas au milieu, je peux disposer mes affaires autour de moi. Pour avoir eu quelques déboires avec les rongeurs, les renards, voire les serpents et les scorpions, ou encore l’étanchéité défaillante des absides de certaines tentes, je ne laisse ni ma nourriture, ni mon sac à dos ni mes chaussures sous les vestibules, seulement mon réchaud essence, ma poche à eau (4L), mes croc’s.

Il y a une grande poche filet à la tête, la même aux pieds (et vice-versa :-)), une poche en filet suspendue et amovible sous le plafond et deux autres poches encore, non extensibles entre la tête/les pieds et le plafond. De quoi organiser le rangement.

Les dimensions au sol de la chambre sont bien suffisantes pour y mettre deux matelas standards côte à côte, il restera de la longueur. Dans mon cas, mon duvet ne touche les parois ni à la tête ni aux pieds.

Thermicité/Respirabilité

La tente Samaya Inspire2 est vendue comme une 3 saisons. Une arche en tissu plein imperméable et respirant part des pieds pour aller à la tête, le reste est en mesh. Le tissu des vestibules est extrêmement fin. Aucune thermicité. J’ai eu, thermomètre à l’appui, la même température toujours à l’intérieur que dehors. Ce sera appréciable l’été pour ne pas avoir trop chaud, mais le printemps et l’automne, j’aurais apprécié une partie opaque en bas de moustiquaire. Cependant, je sais aussi que si je veux éviter au maximum la condensation et malgré la qualité supérieure et performante des tissus et membranes utilisés, il faut laisser passer l’air… C’est toujours le dilemme. Au niveau respirabilité, j’ai testé la tente dans des conditions assez défavorables je dois l’avouer, la première nuit avec du léger gel (-1°C) sans précipitation, j’ai eu de la condensation, qui a givré au contact du tissu “plein”, puis fondu sous les premiers rayons du soleil et mouillé en partie le contenu des poches. Gouttes sur mon duvet, petites flaques sur le tapis de sol. J’ai eu un peu de condensation sous mon matelas, cela me semble inévitable.

La qualité des tissus et membranes n’est pas en cause et je pense honnêtement que c’est la tente la plus respirante que j’aie pu avoir. Un point de condensation est ce qu’il est, quels que soient les tissus utilisés… Les quatre nuits suivantes ont été plus douces, températures légèrement positives, pour ainsi dire pas de condensation, en laissant toutefois le zip un peu ouvert en bas des vestibules. La dernière nuit, j’ai monté ma tente sous la flotte, puis ce fut de la neige très mouillée, qui a couvert la tente sur 2 cm d’épaisseur, et ensuite il a gelé et venté un peu. Je ne pouvais guère laisser d’aération supplémentaire, ça a donc condensé un peu et au matin la tente était comme sous une carapace. J’ai fait tomber la glace avant de remballer mais n’ai pas pu démonter les vestibules, le long zip était glacé.

La conception ne laisse guère de possibilités d’aérations supplémentaires par exemple en cas de températures douces à chaudes + pluie et vent léger, à part ouvrir  le bas du zip des vestibules qui ne tient alors plus que par un ou deux points velcro. Un double curseur sur les zips des vestibules auraient été fort appréciables.

Tenue à la pluie

Je n’ai pas eu de pluie d’orage martelant le toit mais tout de même cinq à six heures de pluie continue d’intensité moyenne (avant la neige mouillée qui stagne sur la toile, donc pire). Aucune fuite dans la tente Inspire2 elle-même, où que ce soit. Par contre, l’eau s’est infiltrée au niveau des coutures des crochets B (ceux qui sont à l’intérieur des vestibules). Il faut donc bien les attacher aux arceaux afin que les gouttes ne tombent pas sur le tapis de sol à travers le mesh. A part ça, je pense pouvoir dire que la tente tient bien à l’eau. Tant qu’il n’y a pas eu à sortir, je suis restée parfaitement au sec dans la chambre.

Tenue au vent

Je n’ai pas eu de vent violent (avec de la pluie quitte à faire…). Mais il y a déjà un point positif, c’est que la tente étant fixée au sol avant d’enfiler les arceaux, elle ne risquera déjà pas de s’envoler. Tant que les haubans ne sont pas mis, comme d’habitude, il faudra se méfier des arceaux qui se couchent et peuvent éventuellement casser car il y a de la prise au vent. Vu la conception de l’armature, je pencherais pour une bonne résistance au vent une fois la tente montée en entier. Par contre, les haubans ne permettant pas de tendre efficacement les vestibules (puisque la tente “s’écrase” lorsqu’on tend), ces derniers deviennent un peu des voiles. Un vent léger permet de s’en rendre compte déjà. En cas de très fort vent (bourrasques d’orages par exemple), je pense que ça peut bouger pas mal en tirant les arceaux vers le bas. Cette tente, comme les autres, devra être orientée correctement s’il y a du vent, donc pieds (ou tête) au vent. Le tissu des vestibules est léger mais je le pense solide à l’arrachement et les points d’accroche (crochets A et B et velcros) sont bien placés.

Où acheter la tente Samaya Inspire2 ?

Mon avis sur la tente Samaya Inspire2

Nathalie

Après 16 ans passés dans l’industrie à rêver d’être dehors, m’y voila. Cela fait 18 ans que je suis accompagnatrice en montagne et que je partage mon temps entre cette activité et des voyages au long cours à vélo, à pied, à skis… Je suis également auteure.