Test veste Lafuma Schift GTX

Test sur le terrain de la veste Lafuma Schift GTX

Pour effectuer ma traversée du Tyrol et des Dolomites sur le Traumpfad (le chemin de rêve), je recherchais une veste légère type fond de sac, afin d’être protégé surtout face aux orages de fin de journée et aux vents en altitude. La destination n’était pas sujet à de grosses précipitations , la veste allait passer une bonne partie du temps au fond du sac. La veste Lafuma Schift GTX dispose d’une membrane Gore-Tex type Paclite (2,5 couches). Un type de membrane qui est plus fragile et moins performante que d’autres (sensation d’humidité par capillarité par exemple), mais qui a pour grands avantages la légèreté/compacité et la respirabilité. Ce dont j’avais besoin.

La Lafuma Schift GTX est une veste avec une coupe assez près du corps, dotée d’une capuche réglable par cordon, de fermetures-éclair étanches, de deux grandes poches, de bandes velcros aux poignets et d’un cordon élastique au niveau des hanches. La veste pèse 268 grammes en taille M, soit 70 grammes de moins qu’annoncé par Lafuma. Moi qui cherchait une veste légère, ce fut une bonne surprise. Et au niveau coupe, elle correspond aux informations données sur le site de la marque pour choisir sa taille. Une étiquette « Low impact » était accrochée à la veste, indiquant qu’il s’agit d’un label qui garantit que le produit respecte des contraintes industrielles et de développement pour diminuer l’impact environnemental. La veste à la note « 80% Bluesign certified materials or 40% Low impact materials ».

Niveau imperméabilité, je n’ai pas été surpris, pas de défaillance, pas de miracle. Comme toute veste Paclite, la Lafuma Schift GTX m’a protégé correctement la plupart du temps, avec parfois des sensations d’humidité par capillarité, et lors de grosses averses qui perdurent, j’ai atteint ses limites. Les épaules et le haut du dos ont commencé à être humide à l’intérieur. Je devais retourner la veste le soir pour la faire sécher. En ce qui concerne la respirabilité, même s’il elle ne possède pas de ventilation sous les bras, elle était au rendez-vous. Je n’ai pas eu de coup de chaud lorsque je la portais.

Simon Dubuis

Voici quelques années, je me suis échappé d’une vie qu’il faut souvent suivre au pas…
Aujourd’hui je déborde d’énergie que je dépense dans la marche afin de parcourir des milliers de kilomètres pour découvrir les merveilles de la nature. Mes terrains de jeux préférés étant les montagnes et les zones désertiques, là où poussent les cairns. Mais je suis ouvert à toute la planète.
Je n’ai ni l’âme d’un écrivain, ni d’un photographe, mais j’ai un grand plaisir à faire partager mes aventures par l’intermédiaire de mes sites afin d’offrir un peu d’évasion.
Simon Dubuis
Carnets d’aventures : www.dubuis.net