Test bâtons de randonnée MSR DynaLock™ Ascent Carbon Backcountry

Les bâtons de marche MSR DynaLock™ Ascent Carbon Backcountry ont été créés pour accompagner les pratiquants d’outdoor tout au long de l’année lors de leurs sorties en randonnée estivale, en raquettes et en alpinisme. J’ai eu l’occasion de tester ces bâtons lors de randonnée estivale, lors de tour du Mont Blanc et pendant des randonnées journalières, et ainsi de le comparer aux bâtons Terra Nova Trail élite que j’avais déjà eu l’occasion de tester.

Accessoire fournis

Les bâtons DynaLock™ Ascent Carbon MSR sont fournis avec deux types de rondelles. Une paire « estivale », très fine et légère, qui sert à bien s’équilibrer dans la boue et sur terrain glissant. Une autre paire « hivernale », très large qui permet au bâton de ne pas s’enfoncer dans la neige lors des randonnées en raquettes. On peut ainsi utiliser ces bâtons toute l’année.

Le changement de rondelle est très facile et instinctif. Il suffit simplement de visser ou dévisser la rondelle au bout du bâton, et tout est bien en place pour la saison !

Ergonomie

La poignée ainsi que l’extension sont en mousse EVA. Elle est confortable et on ne transpire pas des mains lors des efforts intenses. Du coup, on a une très bonne prise sur ces bâtons, quelque soit la difficulté de la pratique. Le manchon en plus est très appréciable, ces 10 centimètres  permettent d’ajuster la hauteur de la prise de main sur le bâton de façon instantanée, sans pour autant être en contact avec le métal froid. C’est une vrai plus value, un confort aujourd’hui indispensable, notamment lors des montées raides et courtes.

La dragonne est ajustable, renforcée pour plus de confort. Il n’y a pas de bâton droite ou gauche, ce qui n’est pas plus mal, on peut simplement prendre la paire et partir à l’aventure.

Montage démontage

Le montage du bâton se fait en deux temps. En premier, il faut enlever un scratch pour libérer les trois brins. On enroule ensuite le scratch sur le brin principal. Ensuite, on déplie les trois brins et on les  clips en tirant simplement sur le brin rouge. Enfin on règle le bâton à la bonne hauteur grâce à un petit crochet. Les bâtons vont de 100 à 120 cm, ce qui est au final pas super flexible. On s’attend aujourd’hui à avoir des bâtons qui ont une amplitude plus grande (simplement pour les prêter ou pour les ajuster à la taille de tous). Il existe une molette pour modifier la dureté du crochet, ce qui fait que le bâton ne peut pas se dérégler pendant l’activité ou se desserrer  au fil du temps. C’est un point positif non négligeable, surtout pour garantir la longévité du produit.

Poids / encombrement / solidité

Pour moins de 500 grammes, les bâtons DynaLock™ Ascent Carbon Backcountry de MSR sont très légers, et pour autant très solides ! Un poids plume pour toux ceux qui souhaitent faire de la randonnée, de l’alpinisme ou de la raquette en n’ayant pas peur de forcer sur les bâtons et de les casser. On gagne quelques grammes en passant des rondelles hiver aux rondelles été, puis encore quelque grammes en les enlevant complètement.

Coté encombrement, chaque bâton une fois plié fait 30 cm de long pour  cm de large. C’est vraiment ridiculement petit. On les glisse facilement sur les côtés du sac à dos, et même dans le sac ! Résultat, même pour une randonnée facile, on n’hésite pas à les prendre, car ils sont légers et peu encombrants.

svety74

J’ai eu la chance de faire de ma passion mon travail. Tous les matins, je suis contente d’aller travailler.  En même temps, mon travail consiste à vendre du rêve, et à emmener des petits groupes faire du chiens de traineau ou de la randonnée sur plusieurs jours !
Vous me trouverez plutôt dans les pays nordiques, du côté de la Finlande ou de l’Islande, où j’ai pas mal trainé. Mon camp de base est situé à Chamonix avec le Mont Blanc en terrain de jeu ! Mes projets sont d’aller m’installer au Canada pour quelques temps, et de profiter des montagnes la bas.
J’ai beaucoup vadrouillée à travers le monde, en choississant des modes de transport doux, avec une préference pour le vélo et la marche à pied. Prendre le temps de voyager permet de rencontrer les populations locales, de faire des rencontres inoubliables et de ne rien rater du paysage. Mes préférences me poussent vers l’Afrique, que j’apprécie particulièrement. Ce continent fait encore peur, donc n’est pas trop ouvert au tourisme de masse. Il y a donc plein de coin magnifique à découvrir loin des foules !
Une prochaine destination ? J’aimerai partir à la découverte des animaux d’afrique, donc plutôt aller du coté du Kenya. En Asie je voudrais découvrir la Birmanie avant que ca ne change trop et aller voir Bornéo avant que les cultures de palmier ne détruisent tout. Enfin en Amérique, je souhaiterai découvrir Cuba, avant que ca ne devienne un second Mexique.
Bref, je voudrais aller partout !