Test sac à dos Vaude Scopi 22 LW

J’ai testé le sac à dos Vaude Scopi 22 LW lors de plusieurs randonnées dans le massif montagneux préalpin de la forêt de Saou sur 15 jours au total. Voici mon avis.

Réglage du sac à dos Vaude Scopi 22 LW

Ce sac à dos Vaude Scopi 22 LW possède trois réglages possibles.

Tout d’abord un premier réglage au niveau de la ceinture ventrale. Il s’agit d’un simple clip et d’une sangle relativement fine mais suffisante car le sac a une capacité de 22 litres. Le sac est équipé de passants permettant de canaliser les « mètres » de sangles qui pendent. Cette longueur permet de s’adapter aux tenues les plus chaudes et donc plus larges.

Ensuite, un réglage au niveau des bretelles. C’est un réglage simple et classique. Étant un sac à dos de petite capacité, il n’est pas possible de régler la hauteur des bretelles mais vous pourrez jouer sur le serrage des sangles pour régler la stabilité de votre sac au niveau du dos.

Enfin, le réglage de la sangle poitrine. Là encore, un simple clip et une sangle fine. Pas de passant pour le surplus de sangle mais elle n’est pas trop longue, donc ce n’est absolument pas dérangeant.

Confort de portage

Entre le dos matelassé et les bretelles rembourrées, le confort au niveau du portage est très bon. De plus, le système de suspension Synergy Mold Light, en plus d’assurer un sac à dos léger pesé à 571 g et offrant une liberté de mouvement maximale, possède un grand canal de ventilation le long de la colonne vertébrale favorisant ainsi une bonne circulation de l’air.

Durant le test, j’avais un peu moins de 4 kg dans le sac et aucune gêne n’a été ressentie.  Il faudrait voir sur de longue distance ce que donne le frottement des bretelles sur des épaules nues. Mais vu la sensation sous les doigts, je pense sincèrement que ce ne doit pas être un souci. Même chose pour le système de sangles au niveau de la ceinture ventrale et sangle poitrine. Comme c’est un sac faible contenance, il reste léger et les sangles devraient rester confortables.

Organisation du rangement

On est ici sur un modèle épuré et par conséquent, pas de multitude petites poches ou filets.

On a une fermeture papillote sur le dessus pour un accès rapide et à l‘intérieur un petit compartiment zippé. Donc oui, si on doit chercher un truc qui est au fond, il faudra tout sortir. Mais on est sur un sac 22 litres, donc le « tout sortir » est quand même sensé être minime.

Le sac à dos Vaude Scopi 22 LW possède un grand nombre de sangles de compressions amovibles. Quatre latérales dont deux de chaque côté, deux sur le dessus mais en position latérale également et une supplémentaire sur le dessus du sac en position centrale.

Elles sont vraiment pratiques car elles permettent d’adapter parfaitement le volume du sac par rapport à son contenu. On est sur un sac à dos peu large pour ne pas entraver la liberté de mouvements et ces sangles permettent d’optimiser cette particularité.

D’autres systèmes d’accroches permettent de fixer tout ce qui est bâtons et piolet.

Ratio poids/volume

On est sur un poids plume. Le Sac à dos Vaude Scopi 22 LW fait moins de 600 g pour un volume de 22 litres.

Il est léger et peu l’être encore plus. En effet, les renforts en aluminium et le matelassage du sac sont amovibles. C’est bien pensé et selon la charge, ça peut-être une bonne option.

Accessoires

Adeptes des accessoires passez votre chemin. Avec son sac à dos Scopi 22 LW, Vaude mise sur un design épuré pour une légèreté maximale.

On trouvera tout de même la sortie pour le système d’hydratation.

Selon les options, il sera possible d’avoir une housse de pluie. Mais il faut savoir que le sac à dos a la technologie Eco Finish. Cette finition déperlante est appliquée à la surface du sac. Ainsi, l’eau de pluie perle simplement à la surface, et cela avec toujours un souci écologique. En effet, Vaude a décidé de se passer des fluorocarbures, qui sont nocifs pour l’environnement (PFC).

sosomady

Bonjour à tous,

Passionnée de nature, de grands espaces et de randonnées, je me suis orientée vers une vie professionnelle qui pouvait correspondre à toutes mes aspirations.
Je suis donc devenue responsable du programme de recherche PERCEPTION pour l’ONG Objectif Sciences International.

Mais qu’est-ce que ça veut dire concrètement ?
Et bien je crée des séjours de vacances scientifiques pour des enfants et des adultes afin de leur donner l’opportunité de participer à un projet de recherche réelle.
Je suis notamment responsable d’un séjour sur l’étude des chenilles processionnaires, un autre sur le suivi du castor le long de la rivière Drôme mais aussi un sur le suivi de certaines espèces de chauves-souris en Guyane Française.

De façon encore plus concrète ?! Et bien je dors dans des hamacs à plusieurs mètres de haut, je marche des dizaines de kilomètres afin de recenser des espèces animales, je reste des heures entières immobile pour faire des affuts d’oiseaux migrateurs et je traverse des kilomètres de forêt amazonienne afin d’atteindre nos spots d’étude.
Alors bien sûr, il y a une partie préparation et traitement des données qui se fait sur ordinateur, ce qui est nettement moins fun, c’est certain. Mais je profite des week end pour m’évader et me reconnecter à la nature.
Pyrénées, Alpes, montagne, plaine …. pas de préférence ! J’explore, je découvre et essaye de faire partager tout ça !