De Rekjavik à Akureyri
LUNDI 14
Réveillé à 5h par le jour.
On mange pas: départ à la recherche de cartes topographiques (il était temps?) à Reykjavik.
La ville est sympa, la vue sur le bord de mer est superbe (collines au loin avec neige).
Comment soutenir I-Trekkings ? En partageant cet article par exemple ou en effectuant vos achats chez nos partenaires (Merci de ne pas cliquer pour cliquer. N’achetez que si vous avez un besoin et pensez à accepter les cookies de nos partenaires dès l’arrivée sur leur site). Il y a bien d’autres façons de soutenir I-Trekkings. Pour en savoir plus, c’est par ici.
Le top de nos partenaires pour vous équiper :
- Alltricks : BlackWeek sur plus de 22 000 produits
- CimAlp : Jusqu’à -40% sur les vestes techniques et les doudounes jusqu’au 18 novembre
- Direct-Running : Before Black Friday – jusqu’à-70%
- Ekosport : 20€ offert par tranche de 100€ d’achat
- I-Run : Running Weeks. Jusqu’à -40% sur le site
- Les petits Baroudeurs : La Boutique Outdoor pour équiper vos enfants et petits enfants.
- Lyophilise & Co : Lyofolies jusqu’à -15%
- Snowleader, The Reblochon Company : C’est la rentrée, -15% supplémentaire sur tout les accessoires snow
- Trekkinn : 10 000 bons plans
Le top de nos partenaires pour partir en rando et en trekking :
- Allibert Trekking (Agence de voyage basée dans les Alpes, spécialiste rando, trekking et voyages d’aventure)
- Atalante (Spécialiste du voyage d’aventure, de la randonnée et du trek)
- La Balaguère (randonnées dans les Pyrénées et à travers le monde)
- Randonades (Randonnées dans les Pyrénées et rien que les Pyrénées)
- Travelbase (Agence de voyage pour des aventures à vivre en groupe ou en solo, et avec l’esprit Travelbase)
On est en T-shirt et short. On trouve les cartes (l’adresse indiquée par le guide du routard est périmée- 45 min de marche inutile). On en prend 3 au 250.000! Nico voulait pas dépenser plus, moi j’hésitais… On verra bien.
Averse: on court, Nico laisse son empreinte de pas en Islande: il bousille un muret en béton pas sec.
On arrive au terminal de bus à 14h30, prochain car pour Akureyri 17h30. On achète les cartes postales et on les écrit jusqu’à 17h. Il en reste 5 à écrire à Nico!
Hop dans le car. Le voyage, qui va durer 6h, commence bien. C’est beau: montagne noire avec de l’herbe qui essaie de pousser, la mer de l’autre côté…etc.
On passe un tunnel vachement long, puis de l’autre côté, pluie: oh putain si c’est ça, ça va pas être gai… puis nuit qui tombe et brouillard et froid. De pire en pire pendant 4h! On est à croupi sur les sièges, en boule, les jambes sous la veste polaire: on se les pèle! (les pantalons sont dans le sac dans la soute). On regarde dehors… A part le bord de la route et le brouillard on voit rien. (cf extrait du dialogue de la page 1)
Le moral en prend un coup. A chaque pause il fait plus froid. Arrivé à Akureyri à 00h: il fait nuit, 7°C, humide comme chez nous, il n’y a personne, on est en short, à part des instructions plus que vagues du chauffeur on ne sait pas où est le camping, tout va pour le mieux.
La ville a l’air très jolie. Alors qu’on erre à la recherche du camping, on se retrouve face à un immense escalier qui monte très haut, vers là où est censé se trouver le camping. On en chiait déjà avec les sacs sur le plat, alors on décide de … monter en courant ! Enfin on se tire la bourre dans l’escalier comme on peut et on arrive simultanément en haut, les jambes complètement sciées, morts de rire de notre débilité. On s’installe au camping à 0h30 dodo.
MARDI 15
Debout à 9h CA CAILLE! On plie la tente et on se casse sans payer: pas trouvé le warden. On mange près de l’eau des pâtes avec une sauce piquante. On va au terminal bus poser les sacs et on repart visiter Akureyri. Sympa mais petit. On achète du beurre et du pain. On visite les magasins de laine, très beaux pulls. Sur l’eau des gamins font de la voile, chavirent exprès, se baignent: ils sont bien équipés. On retourne au terminal: j’entre les points GPS pendant 2h: refuges et intersections du trek. On discute brièvement avec une québécoise qui nous laisse le plan de Myvatn (qu’on avait pas ). Nico s’emmerde, moi j’apprécie la chaleur et le fait de pouvoir étudier les cartes et de rentrer quelques points GPS.
Dehors il pleut maintenant. (on s’est réveillés ce matin avec plein d’eau dans la tente, soit parce que la couverture de survie (qu’on avait mis dessous) faisait rigole, soit à cause d’une petite déchirure dans un coin de la tente… ça fait super chier).
On prend le livre d’or du terminus pour y mettre quelques mots….
On discute avec quelques Français qui passent. Ils nous avertissent qu’il vaut mieux avoir un duvet chaud: ils avaient des sacs garantis chauds jusqu’à -5°C et se les sont gelées! On les rassure (on a des sacs -17°C)…
Le bus arrive, on part: pluie, brouillard et le lac sous la pluie.
On va au camping que nous a conseillé un Français en traversant un champ de lave.
On pose la tente à 22h30. On mange pâtes avec sauce (encore) une petite douche (aux oeufs!) et au lit. Il pleut presque toute la nuit.