La Haute-Corrèze à VTT

4 jours à VTT en Haute-Corrèze, le plus grand réseau labellisé de France avec plus de 1000km de chemins de quelques heures à plusieurs jours. Récit et conseils pratiques.


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Focus Rando :La Haute-Corrèze à VTT
4 jours +3430 m/-3430 m 173,5 km 2
Vélo & VTT Boucle Hôtel
Nouvelle-Aquitaine Massif Central Pas de transport en commun
Campagne, Forêt, et Rivière et fleuve Mai, Juin, Juillet, Août, Septembre, et Octobre

Après avoir fait la route depuis Annecy, j’arrive en début de soirée à mon hébergement : l’Auberge de l’Empereur au hameau de La Goudounèche, qui se trouve être à 4 kilomètres d’Ussel. Je suis très bien accueilli par Nathalie dans cette ancienne grange restaurée, qui sera mon camp de base pour ces 4 jours. Je prends donc possession de mes quartiers, et même s’il n’y a pas de local vélo j’ai le droit de le rentrer dans ma chambre, qui donne sur l’extérieur et qui est suffisamment grande pour que cela ne me dérange pas.

Le soir venu le dîner s’annonce bien : foie gras maison à la vanille en entrée, veau limousin et mesclun de légumes sauce caramel de chorizo, puis une soupe à la rhubarbe pour parfaire le tout. Le voyage commence bien alors que je ne suis même pas encore monté sur mon VTT. Place au récit de mes 4 jours de VTT en Haute-Corrèze.

J1. Nothshore du Mont Bessou & Chemin des chapelles

Bien reposé, je me réveille avant que mon réveille ne sonne. J’en profite pour faire un peu de lecture sur la géographie des environs. Un petit déjeuner relativement simple composé de deux mini-viennoiseries et d’un petit pain avec de la confiture, accompagnés d’un café et d’un verre de jus d’orange, puis je pars rejoindre Gilles et Jérémy sur la place de la fontaine à Meymac, jolie petite ville de granite aux toits d’ardoise. Nous prenons un second café le temps d’organiser oralement notre premier jour de VTT ensemble !

Nothshore du Mont Bessou

Nous partons donc rejoindre Clément au Mont Bessou car il s’agit du plus haut sommet de Haute-Corrèze et même du Parc Naturel Régional de Millevaches. Culminant à 976 mètres d’altitude, de là nous avons une belle vue des environs. D’autant plus qu’il s’y trouve une tour d’orientation construite en 2005 avec les pins douglas abattus par la tempête de 1999. D’une hauteur de 26 mètres, son sommet dépasse ainsi symboliquement l’altitude de 1000 mètres. Cela parait anodin, mais cette différence à une grande importance quant au dégagement de la vue sur les massifs alentours.

Cela me permet de mieux me rendre compte de la géographie de cette partie du Massif central, la vue depuis le sommet de la tour me permet d’admirer le superbe panorama s’étendant du Puy de Dôme au Plateau de Millevaches tout proche, en passant par les Monts d’Auvergne !

J’ai aussi le droit, de la part de cette team de vététistes corréziens, à un topo sur le développement du VTT en Haute-Corrèze : il s’agit ni plus ni moins du plus vaste domaine de pistes VTT labellisées de France ! Avec plus de 1000 kilomètres d’itinéraires balisés FFVélo, de quelques heures à plusieurs jours, il y a de quoi faire ! Je sais que je n’aurai malheureusement pas le temps de tout parcourir en 4 jours, mais j’ai déjà une bonne excuse pour revenir !

Nous commençons donc par nous chauffer sur le Northshore du Mont Bessou, une sorte de mini bikepark mis en place par des élèves du Lycée Henri Queuille de Neuvic. Ce Northshore est très ludique et progressif, il permet de bien débuter dans l’activité tout en augmentant le niveau technique au besoin, car tous les modules sont évitables si on ne se sent pas encore assez aguerri pour les prendre.

En fin de matinée, nous allons tous les quatre déjeuner au restaurant Le Sèchemailles, donnant sur le lac éponyme. Cette base nautique offre de nombreuses possibilités d’activités en toute quiétude grâce à l’interdiction d’engin motorisé sur le lac.

Chemin des chapelles

+ 650 m / – 650 m 25,4 km marron n°9

Pour l’après-midi, au départ du Mont Bessou, nous avons l’itinéraire du chemin des chapelles qui s’offre à nous. Jocelyn, Dominique, et Jérôme nous rejoignent pour ce circuit de près de 26 kilomètres et 650 mètres de dénivelé. Dès les premiers mètres, nous passons à l’étang du Mont Bessou, où ses eaux calmes se transforment en miroir photogénique.

Le chemin des chapelles constituent une succession de courtes montées et descentes, jamais plus de 150 mètres de dénivelé avant de pouvoir reprendre son souffle. En chemin bien moins que mille vaches – dont l’étymologie du PNR n’a d’ailleurs rien de bovin – mais seulement quelques unes représentées par la race limousine.

Cette ‘courte’ randonnée à VTT est donc bien tonifiante malgré son profil avenant. Et avec la chaleur qui règne en ce mois de juin, nous y laissons de la sueur. Heureusement, de nombreuses portions sont bien ombragées par la flore résineuse corrézienne : sapin et pins douglas sont légion avec leurs tons verts sombres régulièrement soulignés par le jaune canari des genêts.

En tant que photographe, je me retrouve souvent en avance sur le groupe. Et c’est une chance pour l’observation de la faune : aujourd’hui j’ai l’opportunité de croiser un magnifique renard roux du Limousin ! Bien évidemment ce dernier est bien trop rapide et peureux pour que j’ai le temps de sortir mon appareil photo.

Par endroit, la pluie de la veille à laisser place à quelques flaques et portions boueuses : de quoi ravir nos âmes enfantines. Ici notre petit jeu concours entre mecs consiste à aller le plus loin possible sans poser le pied à terre : alors que j’ai l’excuse de devoir prendre des photos, Jocelyn sera notre maître en la matière !

Encore quelques efforts dans ces mondes fantastiques à la Tim Burton, que nous arrivons déjà à la fin de notre boucle. Et comme l’activité VTT nous permet de perdre suffisamment de calorie amenant à la joie du houblon, Le Bistrot, à Meymac, nous accueille sur sa terrasse pour le débriefing de notre journée, entre abbaye et ancienne maison de maître des Meymac-près-Bordeaux !

Le soir venu, je rentre à mon auberge pour un temps de repos avant le dîner. Et si hier le repas était à la terre, ce soir il est à la mer ! Poêlée de gambas sur purée de poids à la menthe, filet de bar sauce poivron, et une classique crème brûlée maison pour la touche sucrée. Un régal cette table de l’Empereur !

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J2. Site des Cars

+ 910 m / – 910 m 47,5 km jaune n°39

Aujourd’hui nous sommes seulement trois avec Jérémy et Gilles pour parcourir le circuit du site des Cars ! Au départ de la gare de Bugeat, ce circuit est donc accessible en mobilité douce. Après à peine quelques coups de pédales, nous nous retrouvons au coeur du bois de Chaleix. Cette forêt primaire de feuillus du plateau de Millevaches, bordée de rivière, a cette singularité propre à la Corrèze avec ces mousses, lichens et bruyères couvrants de nombreux sols et troncs d’arbres. Cette verdure pimpante contraste fortement avec la teinte ocre des rivières.

Au sortir de la forêt, nous passons au hameau de Variéras. Avec ses 80 toits de chaume, ce village fait penser au village des Schtroumpfs. Autrefois habitats ruraux traditionnels de la région, ces chaumières revoient le jour depuis les années 60. Le chaume de roseaux, qui provient principalement de l’embouchure du Rhône en Camargue, permet une excellente isolation des toitures.

Peu après le hameau, une descente légèrement technique nous amène jusqu’au pont de Variéras. Cet ouvrage d’art probablement de l’époque carolingienne enjambe la Vézère, rivière qui permet au granite de joliment se refléter pour former un cercle complet. La photogénie inspirante du lieu nous retient longuement ici, où il règne une atmosphère toute particulière.

Après avoir dépassé le pittoresque village d’Ars, à une centaine de mètres à peine au détour de l’itinéraire, se trouve le site antique gallo-romain des Cars. Datant du IIème siècle, ces vestiges de presque 2000 ans sont en accès libre. Ne manquez donc pas le bac monolithique, élément rare à observer de nos jours !

Encore quelques tours de roues et nous faisons rapidement notre pause déjeuner au hameau des Maisons, puis nous repartons de plus belle pour la fin de notre boucle ! Nous passons aux moulins de meunerie de Razel qui, au nombre de trois, sont alimentés par une astucieuse irrigation de l’eau datant du XVIIIème siècle. Ici, Gilles en profite pour nous conter la petite histoire des moulins : pendant la seconde guerre mondiale, les soldats Allemands avaient posé des scellés sur les portes, mais en oubliant que les maquisards pouvaient entrer par la sortie d’eau. Ils faisaient ainsi tourner les moulins la nuit pour produire leur farine qui servait à la production du pain.

De retour à Bugeat, nous nous posons in-extremis en terrasse abritée. En effet, l’orage commence à gronder et les premières gouttes de pluie filent le ciel ombrageux. Ce soir, mon dîner est composé en entrée d’aubergines confites à la marjolaine avec son mesclun de tomates, d’un faux filet que je demande bleu et dont la cuisson sera parfaite, accompagné de sa sauce aux cèpes locaux et de pommes de terre au four, et enfin d’un croustillant praliné sorbet mangue passion.

J3. Plateau des Agriers & Flore du Chavanon

Plateau des Agriers

+ 270 m / – 270 m 16,8 km marron n°63

Gilles passe me prendre à mon auberge et nous partons pour 30 minutes de route afin de rejoindre Sophie au village de Lamazière-Haute, point de départ de notre randonnée matinale. L’itinéraire est facile : une succession de montées en pentes douces et de douces descentes, c’est idéal pour faire connaissance.

Le plateau des Agriers est la randonnée VTT parfaite pour débuter : les pistes sont roulantes, larges et bien entretenues, le dénivelé est faible et jamais violent, aucune exposition à un quelconque danger. Cela permet à Sophie de renouer avec le VTT qu’elle n’a pas pratiqué depuis longtemps, et également de prendre en main son VTT électrique qu’elle essaie pour la première fois. En chemin, seulement deux passages un tout petit peu plus techniques : une courte descente pierreuse sur une centaine de mètres, et un morceau de piste rendu boueux par les précipitations de la veille.

Les forêts et les landes se succèdent, alors que les fougères, les marguerites et les boutons d’or font la part belle aux prairies. En chemin, Gilles me fait remarquer que de l’autre côté du ruisseau de Feyt se trouve le département de la Creuse, où j’avais été l’an passé faire du VTT sur la partie nord de la traversée de la Creuse. Le PNR de Millevaches s’y étend par delà la frontière des départements.

Peu avant la fin de notre boucle, au point culminant de notre circuit qui se trouve être le Puy du Vareyron à 915 mètres d’altitude, la vue se dégage vers le sud-est et les Monts d’Auvergne s’offrent à nous ! La superbe table d’orientation en céramique nous permet de comprendre le paysage : du Puy de Dôme au Massif du Sancy, le panorama composé de cônes volcaniques parfaits est inhabituel pour qui n’est pas de la région !

Le Parc Naturel Régional de Millevaches en Limousin

Tout d’abord, si nous revenions au nom de ce PNR : Millevaches. Étymologiquement parlant, cela viendrait du celte mil batz, qui se traduirait par mille sources. Si l’on s’en tient à la verdure de la végétation du coin, je veux bien y croire !

Créé en 2004, ce PNR est partagé sur trois départements de la région Nouvelle-Aquitaine : la Creuse, la Haute-Vienne, et bien évidemment la Corrèze. Il s’étend sur plus de 3300 km², s’étage entre 400 mètres et 1000 mètres d’altitude à la tour observatoire du Mont Bessou, et comprend cinq sites classés Natura 2000. La maison du parc se situe sur la commune de Millevaches.

Côté flore, la végétation rase est composée essentiellement de tourbières, de bruyères, de fougères, de genêts et de gentiane jaune ; alors que les forêts sont quant à elles faites de sapins, de pins douglas et d’épicéas pour ce qui est des essences implantées artificiellement, et mêlées à des espèces endémiques que sont les chênes, les châtaigniers et les hêtraies à houx.

Côté faune, j’ai pu croiser un renard roux du Limousin et des chevreuils. On peut aussi trouver des loutres qui en sont même l’emblème du PNR, et également des chats forestiers, des chauves-souris, et une myriade d’oiseaux tels des pics noirs et des pies-grièches entre autres nombreux exemples.

Flore du Chavanon

+ 730 m / – 730 m 38 km marron n°22

Pour cet après-midi alors que Sophie nous abandonne, Jérémy, Jocelyn et sa fille Violette nous rejoignent. Nous démarrons le circuit Flore du Chavanon à Saint-Étienne-aux-clos et il nous amènera à descendre dans les gorges du Chavanon. Dès les premiers kilomètres, je me retrouve une fois de plus tout seul à l’avant et, au milieu du single : 3 chevreuils ! Toute la famille bambie réunit pour le plaisir de mes yeux ! Encore une fois, je n’aurais pas le temps de dégainer mon appareil photo pour leur tirer le portrait. Ils bondissent sauvagement hors de la sente pour aller se réfugier dans les herbes hautes à proximité.

Nous poursuivons le parcours qui est souvent descendant dans cette première partie et Violette qui va sur ses 10 ans m’impressionne ! Elle adore le VTT, elle est bien équipée avec style, sa position sur son bike est parfaite, et son niveau technique me rassure pour la suite de l’itinéraire.

Une fois descendus dans les gorges, nous remontons la rive droite de la rivière sur une belle piste plate et roulante. Il règne ici une atmosphère plus sombre et plus humide, ce qui confère à l’ambiance une certaine austérité saisissante. Nous slalomons entre de nombreuses flaques d’eau jusqu’à arriver à l’intersection avec l’itinéraire de remontée pour sortir des gorges. Là, ça se corse ! Les pierres ravinent ou glissent, les passages boueux font patiner les roues. Notre niveau technique en montée est mis à l’épreuve et certains doivent abdiquer et poser le pied à terre. Heureusement ce passage dure moins d’une centaine de mètres et l’effort pour pousser le vélo n’est que de courte durée.

Sur la suite de l’itinéraire la végétation sera davantage dégagée, mais la vue sur le Sancy jouera à cache-cache avec les nuages de plus en plus nombreux. Ajoutez à cela les prévisions météo incertaines, nous préférons choisir l’opportunité d’un embranchement afin de raccourcir la boucle.

Nous finirons l’après-midi dans un improbable bar resté bloqué dans les années 80 : chez Yvette on fume encore à l’intérieur, les miroirs publicitaires des liqueurs de gentiane Suze et Salers décorent les murs, on vous sert votre bock sur une table en formica, et la chanson française est diffusée sur un vieux poste radio truffé d’une puce bluetooth afin de streamer du Michel Delpech et du Véronique Sanson car même Nostalgie est passé au-delà. Cela peut paraître ringard, mais perso j’ai adoré l’expérience complètement insolite de nos jours !

J4. Stade VTT d’Ussel & Vallée de la Diège

Stade VTT d’Ussel

Ce matin, Gilles et moi retrouvons Jocelyn pour un tour du stade VTT de Ponty, sur les hauteurs d’Ussel, composé d’un pumptrack et de deux parcours plus ou moins techniques.

Ce stade VTT est une excellente base d’entrainement. Nous choisissons de suivre le parcours rouge de 5,5km, qui est le tracé suivi une année sur deux lors d’une étape du championnat de France, il est donc bien technique. Au programme : passage dans d’énormes rochers, sauts de modules, montées techniques, descentes en épingles, pentes raides.

Tout comme le Northshore du Mont Bessou, ces parcours ont aussi été mis en place par les élèves du Lycée Henri Queuille de Neuvic, et il sont rendus plus difficiles d’année en année à la demande des champions !

Vallée de la Diège

+ 870 m / – 870 m 45,8 km marron n°6

Après avoir découvert le stade VTT de Ponty, c’est donc d’Ussel, tout proche, que nous partons pour une longue randonnée. Jocelyn doit nous quitter mais se joignent à nous Jérémy, Laetitia & David, Laure et son fils de 15 ans, Tom.

La première partie de la rando permet de sortir de la zone urbaine, puis très rapidement au détour d’un virage, nous passons sous la voie ferrée par une jolie arche en pierres granitiques et nous voilà en sous bois. Quelques courtes montées et descentes se succèdent, de quoi faire connaissance avec chaque nouvelle personne, puis nous arrivons sur les rives de la Diège.

La forêt en bordure de la rivière a vraiment quelque chose de magique ! Je fais donc de nombreuses photos, d’autant plus que le parcours est ludique à souhait ! Nous n’avons pas croisé de lutin dans cette forêt enchantée, probablement qu’à sept nous faisions trop de bruit.

Arrivés à un joli pont de bois, nous faisons une longue pause. Je m’essaie à la photographie aérienne, opération périlleuse au drone dans les arbres afin d’immortaliser mes sympathiques compagnons du jour sur fond de nature typique des rivières corréziennes : eaux brunes et forêts émeraudes.

S’ensuit une courte montée technique : j’offre la bière à celui ou celle qui arrive en haut sans poser le pied ! Dis-je pour encourager les plus téméraires. David sera notre meilleur candidat mais il n’aura malheureusement pas réussi le challenge.

Peu après, nous arrivons chez Laetitia & David où nous nous arrêtons un moment pour profiter de leur terrasse ensoleillée pour prendre notre repas du midi. Le pain frais confectionné le matin même par David, qui est boulanger, nous ravira en accompagnement de notre déjeuner.

Nous ne pouvons pas trop trainasser car nous savons que la météo se gâte en milieu d’après-midi. À peine repartis que l’itinéraire nous fait passer sur une ancienne voie ferrée toujours habillée de ses traverses de bois. Au programme : quelques centaines de mètres de ‘good vibrations’ ! Ici, nous choisissons de raccourcir le parcours, nous n’en ferons que les deux tiers afin d’être sûr d’échapper à l’orage.

Encore quelques passages en forêt, on ne s’en lasse pas, et nous arrivons au stade VTT de Ponty où nous ne prenons pas la piste d’entrainement des champions, mais poursuivons plutôt le parcours balisé de la Vallée de la Diège. Une jolie descente en lacets nous ramène à Ussel et les premières gouttes se font sentir. Nous entrons in-extremis à l’abri, puis l’orage s’abat !

Le temps de rigoler un moment, et l’heure des au revoir arrive. Lavage de vélo pour certains, la route pour Annecy pour moi. Je garderai un excellent souvenir de ma découverte de la Haute-Corrèze : un accueil chaleureux de la part d’absolument toutes les personnes que j’ai croisées, une nature calme, sauvage et préservée, et des pistes VTT à n’en plus finir !

Informations pratiques – La Haute-Corrèze à VTT

Comment venir en Haute-Corrèze ?

Venir en voiture

Par l’autoroute : A 89 sortie Ussel.

Par la route : Du côté de Tulle, D1089 ; du côté de Clermont-Ferrand, N89 ; du côté de Limoges, D979 ; du côté d’Aubusson, D982.

Venir en train ou en car

Des trains et cars TER et Flixbus assurent régulièrement la liaison entre Bort-les-Orgues, Ussel, Tulle, Brive-la-Gaillarde, Limoges, Clermont-Ferrand.

Venir en Avion

Des trajets existent régulièrement avec pour destination l’un des deux aéroports les plus proches : Brive-Vallée de la Dordogne ou Clermont-Ferrand.

Où dormir ?

J’ai indiqué en début d’article où j’ai dormi pendant mon séjour. Vous trouverez une sélection d’autres hébergements sur le site de Tourisme Haute-Corrèze rubrique Séjourner.

Où manger ? Où se ravitailler ?

De nombreux restaurants des plus simples aux tables gastronomiques sont parsemés de-ci de-là sur le territoire, en voici quelques idées !

Où louer un VTT ou un VVTAE ?

À Ussel, à la station Sport Nature Haute-Corrèze

Plus d’infos sur la Corrèze

Le portail officiel de l’agence de développement touristique de la Haute-Corrèze vous apportera de nombreuses idées de découvertes et toutes les informations utiles pour préparer votre voyage dans en Haute-Corrèze. Vous trouverez également nombre d’idées d’itinérances à pied, à vélo, à VTT, à cheval… sur le site de Corrèze rando.

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