Paris – Kathmandou
Le départ tant attendu est enfin là. Il y a un an le voyage était décidé, six mois que l’inscription est faite. Le stress accompagnant le départ arrive, où sont les billets d’avion, le passeport ?
Dernier contrôle pour vérifier que je n’oublie rien, que tout le nécessaire est là, que le gaz est coupé, le frigo est dégivré.
Départ en métro, mais que fait-il ? Ce n’est rien, c’est le stress. Gare du Nord, changement pour prendre le RER. Il y a une grève imprévue ou quoi ? Non, le voilà.
Roissy Terminal 1, comme d’habitude un tour pour rien à chercher le comptoir de la Qatar Airways ou des têtes connues. Finalement, j’ai tellement d’avance que je fais un deuxième tour, toujours rien. Il n’y a pas de comptoir de la Qatar, il faut aller directement à la porte d’embarquement ???? Je m’assoie avec un roman ‘L’artiste des dames’ d’Eduardo Mendoza.
Après quelques minutes, les panneaux du comptoir sont mis en place. Le mystère est résolu, les comptoirs sont partagés entre plusieurs compagnies. Des têtes connues sont déjà dans la file d’attente. Smac, smac, et resmac.
Petite collation chez Hippo, le choix des restaurants est plus que limité. La viande est correcte, de toute façon cela risque d’être les derniers morceaux de viande pour les trois semaines qui suivent.
Embarquement à la Française, tout le monde se presse pour rentrer dans l’avion. Décollage impeccable sous la pluie, il est 22h19, la température extérieure est de 12°C.
Collation gargantuesque, du moins dans d’un avion et après un repas. Les couverts sont en métal et une petite cueillere pour la collection de Claudine qui malheureusement n’a pas pu nous se joindre à nous.
Le film du voyage à choisir parmi une liste conséquente et à visionner sur mon écran personnel. La Qatar veut donner une bonne image d’elle-même. Je choisis : ‘Le terminal’, rien à dire au film autre que mignon. Après le film, je fais une petite sieste.
Petit déjeuner composé de viennoiseries, salade de fruits.
Je profite du temps avant l’atterrissage pour écrire ces quelques lignes et pour griffonner quelques dessins sur le carnet.
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5h00, la descente sur Doha est annoncée. « 5h00 Doha s’éveille », du moins le soleil se lève.
Atterrissage à Doha, 27°C à 05h30. Nous sommes directement dirigés dans la zone de transit articulée autour du Duty-Free. Le Qatar est un autre monde, les voitures de service sur les pistes sont des grosses BMW – style Série 5.
Une petite sieste sur les fauteuils de la zone de transit avant de repartir pour Katmandou. Le mélange dans l’aéroport est assez impressionnant, avec de vrais bédouins comme dans Tintin. Les quelques pas sur le tarmac entre le car climatisé et l’avion se font sous une chaleur accablante et suffocante.
La fatigue est telle qu’une bonne partie des passagers, dont moi, dormons avant d’avoir décoller. Après quelques minutes ou heures de sieste, nouvelle collation : un petit déjeuner.
Cela fait 24 heures que je suis réveillé avec juste quelques heures de somnolence et quelques petites siestes.
Sur la gauche de l’appareil, j’aperçois la chaîne de l’Himalaya dont les sommets dominent les nuages. Le sol népalais s’approche. Enfin les premiers pas à Katmandou, dans une moiteur limite insupportable. Il fait seulement 25°C, mais le ressenti laisse penser qu’il fait plus. Le groupe embarque, sous les ordres de Anup – notre guide, dans un minibus en direction de l’hôtel Manaslu – une petite pensée pour Alfred qui dans une semaine décolle pour faire le tour du Manaslu. L’hôtel a l’air plutôt classe.
La conduite népalaise très typique doit être très difficilement praticable pour un occidental. La notion de priorité à l’air d’être lié à la puissance du klaxon, et grâce à l’aide d’une des nombreuses divinités du panthéon hindouiste, tout à l’air de bien se passer.
Nous dînons au restaurant de l’hôtel, suivie d’une petite ballade dans les rues avoisinantes, dans les boutiques ouvertes tardivement.
Les grillons que l’on entend la nuit de la chambre sont, en fait, seulement la cacophonie de klaxons.