Traversée du Zanskar

Carnet d'un trekking en autonomie réalisé en août 2004 au Ladakh entre Lamayuru et Padum. Les montagnes du Zanskar offrent un paysage surprenant où le désert d'altitude rencontre de petits oasis de verdure. La traversée du Zanskar franchit une succession de hauts cols dans une région qui a conservé toute la richesse de la culture bouddhiste. Récit de la traversée du Zanskar, une des références des grands trekkings en Himalaya ! (Attention: étapes rallongées, lieux de camping improvisés, pas d'assistance de porteurs ou guide)

Focus Rando :Traversée du Zanskar

Jour 0

Départ Paris-Roissy 11h45, arrivée à Moscou 17h30, puis à Delhi 2h45. Pas facile de dormir dans l’avion avec les nombreux indiens peu discrets car parlant trop fort.

Jour 1

Soulagement de bien retrouver nos bagages à Delhi, c’est que nous avions un peu peur de ne pas récupérer la tente (enregistrée à part) et un des sac à dos contenant de l’essence (interdite par les compagnies) pour le réchaud. Pour la correspondance vers l’aéroport national, il faut bifurquer à gauche avant la sortie du hall des arrivées (grande rampe) pour prendre la navette. Nous avons bien failli rater l’accès et sortir complètement de l’aéroport, nous aurions alors sans doute été obligés de prendre un taxi. Pour l’instant tout se passe donc bien, nous avons de la place dans le mini-bus qui part dans peu de temps, à 4h, cela colle bien pour notre vol national. A notre sortie à l’extérieur nous sommes comme assommés par l’air si chaud et humide ! C’est que nous sommes en pleine saison de la mousson, le climat est très tropical.

Aujourd’hui est le jour de l’Indépendance et tous les policiers font énormément de zèle, un peu trop même à notre goût, c’est plutôt pénible. Il faut comprendre qu’il sont sous pression car des attentats sont parfois commis pendant cette journée commémorative.

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Arrivée à l’aéroport national par la navette de 4h, après un trajet plutôt original puisque la navette a traversé le tarmac, en croisant les avions.

A droite de l’entrée de l’aéroport, nous repérons un distributeur automatique d’argent. Celui-ci tombe bien car il n’y en avait pas au débarquement, et nous n’avons pas tellement d’argent liquide (euros) a changer. Craignant de ne pas pouvoir en récupérer à Leh, surtout un dimanche, nous allons profiter de cet ATM. En fait, l’appareil s’avère vite déroutant, lorsqu’il demande de choisir une langue, alors qu’il n’y pas les habituels boutons sur le côté de l’écran pour sélectionner une option. Le clavier du numérique n’interagit pas du tout, même le bouton ‘Cancel’ ne donne rien. Il n’y a rien à faire, et la plus mauvaise surprise arrive lorsque le distributeur indiquant une erreur « time-out » signale que la carte est gardée ! Nous voilà donc avec une carte bleue avalée, 1h avant notre vol, et cela un dimanche ! Quelle galère, Nicolas a envie de tout casser, en tout cas il est maintenant bien réveillé par la colère. Il réussit à récupérer le numéro de téléphone de l’agence bancaire et de l’aéroport, mais quel intérêt car nous n’avons pas du tout prévu de revenir ici, au mieux ce serait dans 3 semaines. Il n’y a donc qu’une solution : faire opposition. Heureusement que nous avons une autre carte. Au pire, nous pourrions obtenir une avance (ou même une carte de dépannage) à Leh, grâce à la très bonne assurance de la Visa Premier. Malgré ce désagréable contre-temps, nous n’aurons pas de problème pour avoir des places (obtenons même un hublot). Il y a pourtant foule à l’enregistrement.

En attendant l’embarquement, nous discutons avec un Indien… …de foot (sujet habituel et quasi-planétaire lorsqu’on révèle que l’on est français). Puis nous montons à bord, et ne regretterons pas notre place près d’un hublot. Le survol de l’Himalaya est complètement renversant ! Une infinité de sommets et de glaciers hostiles. Ensuite vient le Ladakh aussi hostile mais plutôt pas sa sécheresse. Cela promet.

A l’arrivée à Leh, on est tout de suite frappé par la présence militaire. Une navette nous emmène aux bâtiments d’arrivée de l’aéroport et nous prenons une jeep pour aller au centre ville. Les religions musulmanes et bouddhiques ont l’air de bien cohabiter. Il semble y avoir beaucoup de boutiques pour touristes, d’ailleurs ces derniers sont plutôt nombreux. La ville, malgré sa petite taille, est très dynamique et nous flânons toute la journée tout en vaquant à nos préparatifs : trouver de l’argent, du combustible pour le réchaud (le ‘kerozene’, en fait du pétrole, sera long à dégotter au bazar), un peu de nourriture, une guesthouse et aller à la station de bus. La ville est assez chaotique, on a du mal à se retrouver au début, mais on se sent à l’aise et en sécurité, les gens vous sourient facilement. Il est difficile de se faire comprendre et les Ladakhis ne sont pas très persévérants. L’utilisation de quelques mots ladakhis est très utile et fait plaisir aux habitants. Il semble qu’il n’y ait pas énormément de patrimoine à visiter, si ce n’est le Palais Royal. Nous avons aussi l’occasion d’acheter du pain, le ‘shapati’, dans une ruelle où sont rassemblés tous les boulangers et leur fameux four tandoori. Le pain y est presque cuit sur demande, on ne peut pas trouver plus frais.

Nous sommes vraiment très fatigués de cette longue journée et nous rentrons rapidement à la Guesthouse pour nous endormir vers 18h30. Demain, départ 8h pour Lamayuru.

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