Test des chaussures des chaussures Peakfreak XCRSN II XCEL Outdry™
Première impression qui nous saute aux yeux quand on ouvre la boite : un look agressif, ultra-moderne avec un coloris qui ne laisse pas indifférent. La Columbia est très réussie esthétiquement La première impression est validée par la seconde, quand on enfile pour la première fois nos nouvelles chaussures : le confort est au rendez-vous. La finition est de qualité et les matériaux utilisés sont de bonnes factures.
La première sortie trail sur des terrains rocailleux et secs confirme les bonnes prédispositions que laisse entrevoir le modèle : la chaussure est nerveuse et légère, elle répond bien aux accélérations et se révèle confortable sur les terrains alternant parcours roulant et accidentés.
Après une première partie de test dédiée au trail à la journée, place à la montagne lors d’une itinérance de 3 jours. Terrain de montagne, avec pierriers et neige au programme ! Elle sera tout aussi agréable, et donc très polyvalente dans sa gamme d’utilisation.
Confort et protection de la chaussure
Sans conteste le point fort de la chaussure… cela tombe bien, c’est ce que l’on attend principalement : un confort optimal. La semelle intermédiaire amortissante Techlite™ épouse parfaitement la morphologie de la voute plantaire, en absorbant les impacts. On constate une assez bonne rigidité pour une tige basse, elle se prête donc assez bien à l’itinérance.
Le pare-pierre à l’avant n’est pas trop grand, il rempli simplement son rôle, sans plus.
On conseillera de prendre la taille en dessous si l’on hésite entre deux tailles.
Maintien du pied et laçage
Le maintien du pied est très bon, on se sent en sécurité avec ce modèle. Ce fut un réel plaisir d’évoluer avec, que ce soit en trail ou en randonnée, fait suffisamment rare pour être souligné.
A noter que le chaussant est large, donc pour des pieds fins comme moi, ce n’est pas le modèle le plus optimal. Le système de laçage ne permet pas de rattraper la précision perdue par la coupe « large » en bout de pied. On pourra également regretter des lacets ronds certes solides, mais qui ont tendance à se défaire.
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Semelle
Très belle accroche avec sa semelle agressive que l’on remarque de prime abord. L’adhérence offerte par le système OMNI-GRIP®, ainsi que la sculpture de la semelle à traction avancée offre une vraie stabilité.
Le pied déroule, on sent que la semelle restitue l’énergie en mode trail. Peu de glissades sur les terrains gras, elle s’est même révélée un bon compagnon sur neige en randonnée.
Pas de dégradation de la semelle, alors que l’on pouvait craindre une usure précoce des gros crampons.
Imperméabilité/Respirabilité
Avec sa construction imperméable Outdry, on tient la vraie plus-value de la chaussure, qui la différencie de ses concurrentes : la membrane respirante qui fait barrage à l’eau. Utilisation dans la neige : les pieds restent au sec. Après une utilisation conséquente de la chaussure, pas de détérioration constatée de la membrane qui s’avère résistante.
La respirabilité reste très bonne avec l’évacuation par le haut. Cependant, la chaussure n’a pas été testée avec des températures estivales. Il est possible que la transpiration soit moins facilement évacuée.
Bien entendu, cela reste une tige basse. L’eau comme la neige peuvent pénétrer par le dessus de la chaussure si on ne porte pas de guêtres.
Verdict
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Mon avis
J'apprécie la Peakfreak XCRSN II XCEL Outdry de Columbia pour sa polyvalence, que ce soit pour un trekking de plusieurs jours ou des sorties trail sur tout type de terrains (gras et accidentés). Avec son design qui se remarque (et se démarque), Columbia propose un très beau modèle, qui offre un amorti de semelle optimal et une souplesse très agréable à l’utilisation.
Savoyard (et du bon côté !) … ça facilite les choses quand on aime la montagne. Comme Obélix, je suis tombé dedans étant petit. Depuis, les skis de rando, les bâtons de marche ou le VTT ne sont jamais très loin.
Un jour, l’envie de réaliser un rêve : un Tour du monde d’un an avec le projet “Un pas de coté”. On a trainé nos guêtres au Ladakh en Inde, traversé le Laos et la Thaïlande à vélo, découvert les temples du Cambodge, parcouru l’Austraile et la Nouvelle-Zélande en Van (et un peu à pied), descendu la Caretea australe chilienne en stop, usé les sentiers des parcs nationaux argentins, gravi un premier 6 000 en Bolivie pour finir dans la Cordillère blanche au Pérou.
Revenu dans le commun des mortels, la suite est faite de séjour au Kirghizstan à cheval, du tour de l’Islande, de traversée du Beaufortain et d’un raid en Haute Maurienne en ski de randi ou d’une diagonale Maurienne – Queyras – Ubaye en VTT.
Les prochains séjours passerons (certainement) par la Norvège avec 90 au patin, par les Bauges en vélo, par la Chartreuse en courant…
On me dit souvent : “t’as la belle vie”… c’est sûr, mais c’est un travail quotidien !
« Les voyages sont la partie frivole de la vie des gens sérieux et la partie sérieuse des gens frivoles. » Anne Sophie Swetchine
Ce n’est pas pour le trekking ou le sport que j’ai acheté ma première paire de ces Colombia Peakfreak, mais parce que, ayant des pieds déformés (orteils en marteau, pieds plats et élargis) et des problèmes d’équilibre, je n’avais jamais réussi à trouver des chaussures qui ne me fassent pas souffrir en permanence. Je cherchais donc une chaussure confortable et rassurante.
J’ai essayé, et adopté, ces chaussures au “Vieux Campeur” de Paris. Je ne le regrette pas. Après un an et demi d’usage quotidien, mes chaussures se sont un peu élargies au niveau de la tige et je ressens le besoin de les remplacer … à l’identique.
Exactement d’accord avec toi Anne Marie. Après 1 an 1/2 d’utilisation intensive, la qualité de la chaussure ne se dément pas.
AU SECOURS:
pieds/EXTRA LARGES:
Longueur 26,8CM
Largeur 11,4 CM!
Petits orteils retractés surélevés!
Chaussant possible pour un poids lourd avec la Peakfreak XCRSN II XCEL Outdry de Columbia?