Test veste Millet LD Freerando

Caractéristiques de la veste Millet LD Freerando

Le credo du Neoshell Polartec, c’est : la protection contre les intempéries ET la respirabilité, pour les pratiquantes actives, « les puristes des activités aérobiques » nous dit LA marque de référence du vêtement outdoor FRANÇAIS. La coupe est féminine et cintrée et les couleurs sont jolies (modèle noir rehaussé d’un liseret framboise sur les fermetures et cordons). Et oui, ça compte de ne pas avoir l’air d’un sac, même les skis aux pieds ! Au premier abord la LD Freerando à l’air de tenir ses promesses.

Test de la veste Millet LD Freerando Femme

Je cherchais une Gore Tex ou équivalent, qui soit légère (qu’on ne sent pas ni dans le sac, ni sur soi) et hyper performante. D’un naturel frileux, je crains le vent qui s’engouffre dans les moindres recoins de coutures mal soudées ou les manches mal ajustées et surtout je déteste la pluie. J’ai eu la chance de tester il y a quelques années une Gore Tex arrivée en tête des classements des meilleurs produits de marques sur le marché. Le top du top !…. Mais au bout de 6 ans d’utilisation, il fallait me rendre à l’évidence, cette veste imperméable adorée devait rendre son tablier et rejoindre l’armoire à vêtements de bricolage et de jardinage du dimanche. Un grand merci à Millet et I-Trekkings pour ce nouveau test produit, car, je le dit « Haut et Fort » la Millet LD Freerando est vraiment une excellente veste imperméable et respirante. Mon allié pour les 6 prochaines années !

Premier constat à la réception du produit. La veste est légère, jolie (oups, je l’ai déjà dit), qualitative au toucher, et les coutures et finitions semblent irréprochables.

Premier test : la mettre en boule, les manches et le tronc ramassé dans la capuche pour la fourrer au fond du sac à dos (le Camp X3 Backdoor -également un produit génial – voir le test ici – ). Elle ne prend pas de place et ne pèse rien : un bon point.

Deuxième test : la sortir au sommet pour se protéger de ce vilain vent qui nous attaque sur les crêtes de Combe Bénite et se protéger avant d’attaquer la descente. L’enfilage est rapide, la sensation de protection face au froid et au grésil est immédiate. La fermeture thermo soudée centrale est hyper protectrice. Attention, lisez attentivement la notice fournie avec la veste pour bien la refermer correctement et ne pas abimer le zip ! Il faut bien enfoncer le premier passant dans le deuxième et maintenir une boucle vers le bas tandis qu’on remonte doucement la deuxième boucle vers le haut. Si on suit la consigne, la veste se ferme d’un seul geste.

Troisième test : On fait une deuxième remontée à peau de phoque, sans enlever la veste. La respirabilité de la LD Freerando s’avère excellente. Les grandes ventilations sous les bras sont très utiles. Longues et pratique, elles s’ouvrent du coude jusqu’à la moitié du ventre : absolument génial quand vous devez faire un effort et que le soleil vous attaque.

Quatrième test : la structure extérieure plutôt résistante qui évite les déchirures. Pour preuve, les coups de couteaux que la veste à subi à l’intérieur du sac et les coups de quarres de ski lorsqu’on prend appui sur les bras et le buste pour enlever ses peaux. Résultat, aucun accroc dans la veste !

Côté protection contre les intempéries : efficace à 100% contre le vent. Je n’ai pas eu à affronter de grosse pluie, donc je ne peux pas me prononcer sur sa résistance en cas d’averse tropicale. Mais le grésil et les flocons, eux sont bien restés en dehors de la veste et, moi, je suis restée au sec.

Côté accessoires : la veste dispose de 2 grandes poches latérales suffisamment vastes pour accueillir les peaux de phoque et de poches intérieures compartimentées dont la poche sécurité pour le smartphone. C’est juste parfait. La poche à l’avant-bras droit accueille votre forfait de ski ou votre carte bancaire sans pb.

Laure CHATAIGNER

C’est l’histoire d’une angevine d’origine et rennaise d’adoption, qui rencontre un savoyard à Londres… Et la suite est assez simple. Un saut de 700 km en Savoie, des chaussures de rando, des skis, des bâtons et un sac à dos plus loin, ma vie s’écarte des chemins de bords de Loire pour les sentiers de GR et les pentes enneigées des Alpes.
Après 5 années à s’acclimater, prendre le pli, user les semelles, un petit break d’un an nous a fait prendre les chemins du monde. Juillet 2011/juillet 2012,  le projet "Un pas de côté sur le monde" prend toute sa mesure. Nous partons un an à travers Inde, Asie du Sud Est, Australie, Amérique du sud. Nous cherchons des partenaires financiers, des sponsors et créons la marque et le site internet qui nous suit toujours dans nos pérégrinations. www.unpas2cote.com/
Ce que j’ai préféré pendant ce périple d’un an?

Le trek en autonomie au Ladakh,
la traversée du Laos à vélo
le road rip dans le désert australien
la Carretra Austral en stop nous menant au Parque National de Los Glaciares et au Parque Torres del Paine (articles ici)
l’ascension du Huayna Potosi en Bolivie ( article ici)
Nos foulées dans la cordillère blanche péruvienne!

Pendant ce voyage, nous avons été testeurs pour la marque Schöffel ( Autriche). Nous avons été doté d’une tenue complète ( pantalons, polaires, gore tex, bonnets…) et rendions des articles et reportages vidéo une fois par mois sur notre périple. Voici une petite sélection des meilleurs articles:

Le test de la Moutain loft en Patagonie
Test en treking dans la jungle au Laos
Test des chemises antimoustique en Thaïlande de Laos

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Il faut dire la vérité maintenant… je n’aime pas marcher… c’est trop lent, ça bouge pas assez vite et surtout, si c’est à la journée et qu’on fait un aller-retour, je maudis en général mes compagnons de rando. J’aime la marche-voyage, la rando-déplacement, bref.. enfiler un sac pour 2, 3 ou 15 jours et avoir l’impression de "rencontrer" le paysage et les gens. Si vous voulez m’emmener à la journée, en général, je préfère courir, c’est plus sympa, ça va plus vite et ça rajoute un peu de piment. Je me suis donc mise à la pratique du trail (attention, en douceur, je n’ai pas l’UTMB en tête!!)
Ce qui reste après avoir voyagé un an… c’est le virus ou les séquelles du virus. Alors on essaye régulièrement chaque année de s’évader un peu sans forcement aller très loin. Un séjour à ski de rando, une boucle de plusieurs jours à vélo, une traversée de massif en trail ou en bivouac et quelques excursions dans des contrées plus lointaines dès qu’on le peut.
voilà…cette description est un peu longue..désolée, déformation professionnelle ! Ah oui, je suis chargée de communication alors j’aime un peu trop parler, papoter, écrire, raconter…! on ne se refait pas!